venerdì 31 gennaio 2014

ODILON REDON - FONDATION BEYELER, RIEHEN





ODILON REDON
commissaire Raphaël Bouvier
Fondation Beyeler
Baselstrasse 101 - Riehen
1/2/2014 - 18/5/2014

Odilon Redon (né en 1840 à Bordeaux, mort à Paris en 1916) compte, avec son cosmos chromatique, parmi les artistes les plus surprenants des débuts de l’art moderne. L’œuvre de ce représentant majeur du symbolisme français marque la jonction entre le XIXe et le XXe siècles et est déterminée par l’interaction entre tradition et innovation. L’exposition de la Fondation Beyeler qui présente un grand nombre de peintures, pastels, dessins et gravures de tout premier plan provenant de musées et de collections particulières d’un grand renom international se concentre sur le rôle de précurseur de l’art moderne qu’a joué Redon et sur la dimension avant-gardiste de sa création. Son œuvre ambiguë et énigmatique se caractérise par des ruptures et des contrastes et suit une évolution conduisant du noir des premiers travaux au fusain et des lithographies précoces à l’« explosion chromatique » des pastels et des huiles ultérieurs. Ses œuvres passent de l’inquiétant à la sérénité : des monstres bizarres surgissent au côté de créatures célestes – rêve et cauchemar, nature et imagination se côtoient. Cette exposition présente tous les thèmes directeurs de sa création, ainsi que les idées et les innovations essentielles de l’œuvre de Redon, si variée tant par le contenu que par la technique. Les sources d’inspiration les plus diverses s’y côtoient — de l’histoire de l’art, de la littérature et de la musique aux sciences naturelles, en passant par la philosophie et la religion occidentales et orientales.
Par son art, Odilon Redon souhaitait ouvrir les yeux sur les « merveilles du monde visible ». Nous espérons vous faire découvrir cet univers extraordinaire grâce à cette exposition.

Image: L'Araignée souriante (détail), 1881, fusain sur papier, 46 x 36 cm, Kunsthaus Zürich, Grafische Sammlung, Legat Doris Epstein-Meyer.

CEAL FLOYER - MUSEION, BOLZANO





CEAL FLOYER
a cura di Letizia Ragaglia
Museion
via Dante 6 - Bolzano
dal 31/1/2014 al 4/5/2014

Con rigorosa semplicità, sottile ironia e consapevolezza dell’assurdo, i lavori di Ceal Floyer (1968) fanno vacillare la percezione di ciò che sembra familiare. Utilizzando oggetti della quotidianità, il gesto preciso di Floyer mette in luce gli interstizi inaspettati tra la visione, la realtà, il linguaggio e la percezione.
L’artista, che nel 2005 aveva partecipato alla mostra “Light Lab” nella precedente sede di Museion, si confronta ora, in una mostra personale, con il vasto spazio del quarto piano del nuovo edificio. All’imponenza dello spazio Floyer contrappone l’impercettibilità, la leggerezza e l’immancabile ironia che caratterizza la sua opera, riportando l’attenzione sulla percezione.
La chiarezza e l’ovvietà della visione sono elementi su cui è giocata quasi l’intera mostra, che presenta nuovi lavori concepiti per l’occasione, come l’installazione Blick (2014), determinata dalla situazione architettonica del museo, più una selezione di video e installazioni da collezioni pubbliche e private come Scale (2007), Long Distance Dyptich (2009) e Overhead Projection (2006).
Tutte le opere costituiscono un’originale e sottile alternativa a un’arte classicamente accademica e rappresentano un’ulteriore modalità di ripensamento dello spazio espositivo e del visitatore e quindi del white cube.
Sarà edito un catalogo trilingue (it, dt, ingl) con testi di Christina Ritchie, Sergio Edelsztein e Letizia Ragaglia.

Floyer (1968, vive e lavora a Berlino) ha all’attivo diverse personali nei musei di tutto il mondo, tra le partecipazioni si ricorda la Biennale di Venezia (2009) e dOCUMENTA (13) nel 2012. Nel 2009 le è stato conferito il Nam June Paik Award, mentre nel 2007 ha avuto il Preis der Nationalgalerie für junge Kunst, Berlin.
  

MICHEL PARMENTIER: TEXTES ET ENTRETIENS - LES PRESSES DU RÉEL 2014



MICHEL PARMENTIER
TEXTES ET ENTRETIENS
edité et présenté par Aristide Bianchi
préface d'Alfred Pacquement
février 2014

L'intégralité des écrits, pour la plupart introuvables, publiés sous forme de tracts ou dans des publications largement épuisées, de Michel Parmentier, dont les textes du groupe Buren Mosset Parmentier Toroni dénommé par la critique BMTP.

Michel Parmentier (1938-2000) commence à exposer en 1962. À partir de fin 1965, il peint des bandes horizontales par pliages rectilignes. Un an plus tard, c'est l'association Buren, Mosset, Parmentier, Toroni (BMTP). Le 6 décembre 1967 il acte la dissolution du groupe dans un tract : premier texte qu'il signe seul. Tous ses textes – à commencer par ceux commis à quatre – sont de sécession. À n'en pas finir. Fin 1968, il cesse définitivement de peindre (sic). En 1983 son activité reprend et, dès lors, ne cesse plus : les plis rectilignes persistent.
Exhaustif, ce recueil donne à lire les vingt-et-un textes (1966-1999) et les quatre entretiens (1981-1991) qu'il a publiés. Si le ton se modifie, si les registres varient, leur rassemblement est soudé par l'affrontement, sans relâche, d'un doute : « L'effet le plus pervers du lieu d'où nous parlons – appelons cela “art” pour faire vite – est que, même sorti, activement sorti, subversivement sorti, l'acteur est toujours là » (Michel Parmentier, 1994).

Le peintre Michel Parmentier est né à Paris en 1938 et est décédé en 2000. Son œuvre, historiquement liée aux quatre manifestations auxquelles il participa en 1967, en compagnie de Daniel Buren, Olivier Mosset et Niele Toroni, est marquée par son radicalisme, son parti pris d'absence d'expressivité et son refus de tout compromis formel et idéologique.



XAVIER VEILHAN: RAYS - JRP | RINGIER 2014





XAVIER VEILHAN
RAYS
edité par Lionel Bovier
JRP | Ringier
février 2014

Monographie thématique / livre d'artiste consacré à la série en cours des Rayons, des environnements immersifs et optiques présentés par Xavier Veilhan dans de nombreux édifices architecturaux célèbres (la Cité Radieuse du Corbusier à Marseille, la Sheats Goldstein Residence de Los Angeles, la Hatfield House en Grande-Bretagne, la Conservera à Murcia, etc.).

Depuis le milieu des années 1990, Xavier Veilhan élabore un corpus d'œuvres remarqué défini par son intérêt pour le vocabulaire de la modernité (la vitesse, le mouvement, la vie urbaine, etc.) comme pour la sculpture classique – dont il a donné sa propre réinterprétation contemporaine. Grâce à l'usage de matériaux et de techniques multiples, il crée en trois dimensions portraits et paysages, bestiaire et architectures qui se jouent tous de la frontière entre le familier et l'insolite.
Depuis 2011, Xavier Veilhan crée les Rayons, une série en cours conçue en hommage à Jesus Rafael Soto et Fred Sandback. En travaillant avec les possibilités de la représentation et les enjeux du dispositif – deux aspects fondamentaux de sa pratique –, les Rayons constituent des environnements immersifs et optiques se jouant des échelles, de la lumière et des ombres ainsi que de l'architecture. Ils ont été présentés dans de nombreux institutions et espaces publics, notamment la Cité Radieuse du Corbusier à Marseille, la Sheats Goldstein Residence de Los Angeles, Hatfield House en Grande-Bretagne, la Conservera à Murcia et à Sainte-Bernadette du Banlay à Nevers (architecte : Claude Parent).
Articulé autour d'un important reportage photographique, ce livre d'artiste réunit également esquisses préliminaires, recherches iconographiques ainsi qu'un extrait de Flatland : A Romance of Many Dimensions par Edwin A. Abbott (1864), chef-d'œuvre de la littérature scientifique du XIXe siècle – lequel offre une autre source de lecture pour les Rayons.

Figure majeure de la scène artistique française, Xavier Veilhan (né en 1963, vit et travaille à Paris) se définit comme un artiste visuel. Son travail, déclinant sculpture, peinture, vidéo, photographie et installation, consiste à ressaisir le réel, notamment dans ses aspects biologiques et techniques, sous des formes archétypales, génériques ou prototypiques qui interrogent les modes de représentation historiques et contemporains.
L'universalisme formel, qui semble renvoyer à l'idéal de l'art classique, se trouve contrebalancé par la singularité des dispositifs de mise en scène des œuvres, des situations et des environnements construits, par la modernité des sujets et par les procédés high-tech utilisés (sculptures d'animaux ou de personnages modélisés avec la technique de captation 3D, dispositifs lumineux des Light Machines...), qui convoquent des images de la société de production industrielle et de consommation dans des univers étranges et équivoques.
Xavier Veilhan a réalisé de nombreuses expositions personnelles, au Musée d'Art Moderne de la Ville de Paris (1993), au CCC de Tours (1995), au Consortium de Dijon (1999), au Mamco de Genève (1999-2000), au Magasin de Grenoble (2000), au CCA Kitakyushu (2002), au Centre Pompidou de Paris (2004), au Musée d'Art Moderne et Contemporain de Strasbourg (2005), au Château de Versailles (2009)... Il est représenté par les galeries Emmanuel Perrotin (Paris) et Andréhn-Schiptjenko (Stockholm).

CAMICIE ROSSE NELLA GRANDE GUERRA - MUSEO DEL RISORGIMENTO, GENOVA





CAMICIE ROSSE NELLA GRANDE GUERRA
a cura di Annita Garibaldi Jallet e Letizia Paolin
Museo del Risorgimento - Istituto Mazziniano
via Lomellini 11 - Genova
dal 31/1/2014 al 12/2/2014

Dal 31 gennaio al 12 febbraio 2014 è aperta al pubblico venerdì 31 gennaio al Museo del Risorgimento la mostra documentaria e fotografica Camicie Rosse nella Grande Guerra. La Legione Garibaldina del 1914 nelle collezioni dell’Associazione Nazionale Veterani e Reduci Garibaldini
L’esposizione, curata da Annita Garibaldi Jallet, presidente nazionale dell’A.N.V.R.G, Letizia Paolini e l’Ufficio Storico dell’Associazione Nazionale in Porta San Pancrazio (Roma), apre le celebrazioni del centenario della prima guerra mondiale, attraverso una serie di testimonianze fotografiche e documentarie che illustrano la storia della Legione di volontari garibaldini, che combatterono nelle Argonne.
Tale vicenda, che può essere considerata come l’ultima fiammata delle Camicie Rosse risorgimentali, fu a lungo ignorata, sia perché giudicata episodio marginale della Grande Guerra, sia perché ben presto strumentalizzata dal fascismo.
I materiali fotografici esposti riproducono documenti, fotografie e cimeli conservati nelle collezioni del Museo della Repubblica Romana e della Memoria Garibaldina di Roma e del Museo “Villa Garibaldi” di Riofreddo, per gentile concessione dei rispettivi direttori, Mara Minasi e Andrea Sebastiani.
L’Associazione Nazionale Veterani e Reduci Garibaldini (A.N.V.R.G.), eretta a Ente morale e riconosciuta dal Ministero della Difesa, è proprietaria e custode di cimeli lasciati in eredità da garibaldini o donati da loro discendenti. In particolare una delle figlie di Ricciotti Garibaldi, Annita Italia, ha donato una parte importante di cimeli della sua famiglia per costituire il Museo sito nella sede dell’ A.N.V.R.G. in Porta San Pancrazio a Roma. Le Sezioni dell’ A.N.V.R.G. conservano cimeli e documenti a loro affidati in ambito locale. L’Associazione si avvale delle Sezioni per realizzare i suoi progetti culturali, e nel caso della mostra “Camicie Rosse nella Grande Guerra” è stata coinvolta la Sezione di Riofreddo.

La mostra, proveniente da Milano, dopo Genova farà tappa a Jesi (AN). L’allestimento genovese è frutto della collaborazione dell’Istituto Mazziniano – Settore Musei e Biblioteche, con L’Associazione Nazionale Veterani e Reduci Garibaldini (A.N.V.R.G.) e la sezione di Genova- Chiavari “Sante Garibaldi”.

LUCA MARIA PATELLA: GIOCONDA IN FRONTE PER AMICA SILENTIA LUNAE - LA NUOVA PESA, ROMA





LUCA MARIA PATELLA
GIOCONDA IN FRONTE PER AMICA SILENTIA LUNAE
a cura di Michèle Humbert
La Nuova Pesa Centro per l’Arte Contemporanea
via del Corso 530 - Roma
dal 31/1/2014 al 14/3/2014

Riannodando antichi legami la galleria La Nuova Pesa inaugura una inedita mostra di Luca Maria Patella.
Nella prima Stanza si contempla una “risposta a Duchamp”: la Gioconda in fronte, con la puzza al naso (che in realtà è…un meraviglioso profumo!). Il Sole è ciclico e, nella fase oscura, appare in alto una grande Luna fosforescente. Si scopre anche che la Gioconda è situata al di sopra di una coppia di “Sedie lucalóre”, che bruciano sul sedile (poiché “Lei ha caldo al c…”).
Una seconda Stanza mostra Terra Animata del 1967 (in un film, oggi depositato presso la “Cineteca Nazionale”, e in due grandi tele fotografiche d’epoca). Si tratta di una vasta operazione e “comportamento”, anticipativi. Anche recentemente è stato scritto, esponendo Patella presso il Moca di Los Angeles, “a Key-work with history of Land Art, before Land Art”. Si osserva inoltre Luca, che, dall’alto delle nuvole, dà lo Stop : alle sciocchezze, o al non credere alla contraddizione fra l’Io e l’Inconscio?
La terza Stanza mostra, nel Paese onirico di Madmountain, un Templum cum Patella (tempietto rinascimentale che espone una luminosa conchiglia rosata), contrapposto a una Immagine di un giovane botticelliano (un bel po’ ironicamente trasformato da Luca) che mostra un medaglione aureo, con una frase di Lacan: “les non dupes errent / le nom du père” (quelli che non sono sprovveduti sbagliano / il nome del padre”…), in breve “ chi pensa di aver ragione… sbaglia”.
La Gazzetta Ufficiale di L.P., n.21, edita in occasione della mostra, accompagna il tutto con un entretien simbolico fra l’artista e la storica e critica d’arte Michèle Humbert.

LUCA MARIA PATELLA è uno dei più stimati artisti di ricerca, si muove tra arte e scienza, utilizzando vari media artistici; attivo sin dalla metà degli anni ’60, ha compiuto studi artistici e scientifici. Attua rigorosi sconfinamenti, dalla trasformazione preconcettuale della camera fotografica, al “senza peso” della cinepresa, dall’ambiente multimediale ed interattivo, al “comportamento”, dal suono, alla parola, all’installazione di grandi oggetti-scultura come “test proiettivi”, alla scrittura e al Libro.
Opera anche in ambito letterario e critico. Né idealismo retorico, né naturalismo razionalizzante.
Tra le numerose Personali si ricordano: teatro via Belsiana, Roma, ’66; gall. l’Attico, Roma, ’68,’69 e ’74; “I Muri Parlanti”, gall. Apollinaire, Milano, ’71; Incontri Internazionali d’Arte, Roma, ’72, ’73 e ’87; ICC (Antologica), Antwerpen,’76; CSAC, Parma, ’77; MUHKA (Antologica), Antwerpen, ’90; Castel S. Elmo (Antologica), Napoli, ’07; Auditorium-Arte, Roma, ’09; “Sfera per Amare”, GNAM, Roma, ’10-’11.
Tra le Collettive: Biennale di Tokyo e Kyoto, ’66; Biennale di Venezia, ’66-’72-’78-’80-’86-’93-’11; Biennale de Paris, ’67 (premiato per la Foto); “Information”; MOMA, New York, ’70; “Speaking Trees”, Walker Art Gall., Liverpool, ’71; “Photomedia”, Museum am Ostwall, Dortmund, ’74; Biennale S.Paulo, ’75; “Paolini, Patella, Pistoletto”, Calcografia Nazionale, Roma, ’80; “L’art et le Temps”, Bruxelles, Wien, London, ’84-’86; “Duchamp und die Avantgarde”, Museum Ludwig, Köln, ’88; “Mai de la Photo”, Reims, ’93; “Italics”, Palazzo Grassi, Venezia, ’09; e Modern Art Museum, Chicago, ’10; Film Museum, Wien, ’11; Films Tate Modern, London, ’09; “Arte Povera”, MUAC, Ciudad de México, ’10; Camden Art Centre, London, ’11; “Nuovo Allestimento della Collezione”, GNAM, Roma, ’12; “Ends of the Earth, Land Art to 1974”, MOCA, Los Angeles, ’12; e Haus der Kunst, Münich, ’12; Mostra del Cinema di Venezia, ’12; Stadtkino, Bâle, ’12; “Ritratto di una città. Arte a Roma 1960-2001”, Macro, Roma; “Duchamp Re-made in Italy, GNAM, Roma, 2013-2014; “Anni 70. Arte a Roma”, Palazzo delle Esposizioni, Roma, 2014.

Immagine: Luca Maria Patella, Stop al non crederci, 2010 

MIKE NELSON: AMNESIAC HIDE - THE POWER PLANT, TORONTO





MIKE NELSON
AMNESIAC HIDE
The Power Plant
231 Queens Quay West - Toronto
31/1/2014 - 19/5/2014

The Power Plant presents the first solo exhibition in Toronto of installations by artist Mike Nelson, featuring two new projects commissioned and produced by the gallery.
The Power Plant is pleased to present the first solo exhibition in Toronto of work by the renowned British artist Mike Nelson. Titled Mike Nelson: Amnesiac Hide, the exhibition includes two new significant commissions: Double negative (the Genie) (2014), and Gang of Seven (2013), produced by The Power Plant in partnership with the Contemporary Art Gallery, Vancouver, his photographic work. Also included is Eighty circles through Canada (the last possessions of an Orcadian mountain man) (2013) and the large-scale installation Quiver of Arrows (2010).
The four installations on view are united by Nelson's deep interest in travel, evoking images of road trips through the North American landscape as well as psychological journeys. In each gallery, Nelson has carefully constructed an intricate tableau that appears littered with the remnants of former inhabitants after an unexplained departure. The absence of a human presence is made tangible in Nelson's work, and imagining the unseen occupants of these seemingly abandoned spaces is central to his immersive and uncanny environments.
For his new works, Nelson revisits ideas and forms first seen in The Amnesiacs, a serial project begun in 1996, which references a fictional twentieth-century motorcycle gang. Constructed entirely from material gathered from the beaches around Vancouver, Gang of Seven sees this roving cast of characters come together as interpreters, deciphering the collected material by creating assemblages akin to some form of disjointed memory or flashback. Nelson imagines that the collected detritus spat out by the ocean is the material language of an intelligent entity, much like that found in Stanislaw Lem's classic speculative fiction novel Solaris, in which scientists studying the oceanic surface encounter their own repressed memories of loss.
Nelson originally began working with these concepts after the unexpected death of his friend and collaborator Erlend Williamson. In 1996 he had fallen to his death while climbing in the Scottish Highlands, at the time when Nelson was working on his first incarnation of what would become The Amnesiacs. The memory of Williamson runs through the exhibition, appearing in Nelson's commissioned work Double negative (the Genie). Here, Nelson creates an environment constructed to resemble a rudimentary office setting where photocopied pages from an unpublished travelogue recalling Williamson are enlarged and taped together. The unseen investigators of this text appear to be navigating their own psychological journey through the past, seeking the truth in the material evidence of a story depicting a time gone by.
Nelson's Quiver of Arrows is an expansive installation constructed from four travel trailers soldered together to form an enclosed space that viewers may enter. While the exterior of the trailers signify a distinctly North American design for leisure and travel, Nelson renders the vehicles inoperable, removing their wheels and sections of their bodies. Audiences navigate the interior of the work, passing through the rudimentary spaces of the wagons, where objects and tableaux highlight cultural and ideological alterity among former inhabitants. Nelson's first interest in these once gleaming aluminum visions of the future was their resemblance to the early covered wagons of the first pioneers—not an unreasonable comparison considering that the oldest within the construction dates back to 1939. Given the size and scope of this installation, The Power Plant is the second gallery to ever exhibit Quiver of Arrows.

Mike Nelson: Amnesiac Hide is accompanied by an illustrated exhibition catalogue published by Black Dog Publishing in collaboration with The Power Plant and the Contemporary Art Gallery, Vancouver. It includes essays by Dick Hebdige, Julia Paoli and Jenifer Papararo.

SCHIZO-CULTURE - THE MIT PRESS 2014





SCHIZO-CULTURE
The Event, the Book
edited by Sylvère Lotringer and David Morris
The MIT Press
January 2014

I think “schizo-culture” here is being used rather in a special sense. Not referring to clinical schizophrenia, but to the fact that the culture is divided up into all sorts of classes and groups, etc., and that some of the old lines are breaking down. And that this is a healthy sign.
— William Burroughs, from Schizo-Culture

The legendary 1975 “Schizo-Culture” conference, conceived by the early Semiotext(e) collective, began as an attempt to introduce the then-unknown radical philosophies of post-’68 France to the American avant-garde. The event featured a series of seminal papers, from Deleuze’s first presentation of the concept of the “rhizome” to Foucault’s introduction of his History of Sexuality project. The conference was equally important on a political level, and brought together a diverse group of activists, thinkers, patients, and ex-cons in order to address the challenge of penal and psychiatric institutions. The combination proved to be explosive, but amid the fighting and confusion “Schizo-Culture” revealed deep ruptures in left politics, French thought, and American culture.
The “Schizo-Culture” issue of the Semiotext(e) journal came three years later. Designed by a group of artists and filmmakers including Kathryn Bigelow and Denise Green, it documented the chaotic creativity of an emerging downtown New York scene, and offered interviews with artists, theorists, writers, and No Wave and pre-punk musicians together with new texts from Deleuze, Foucault, R. D. Laing, and other conference participants.
This slip-cased edition includes The Book: 1978, a facsimile reproduction of the original Schizo-Culture publication; and The Event: 1975, a previously unpublished and comprehensive record of the conference that set it all off. It assembles many previously unpublished texts, including a detailed selection of interviews reconstructing the events, and features Félix Guattari, William Burroughs, Kathy Acker, Michel Foucault, Sylvère Lotringer, Guy Hocquenghem, Gilles Deleuze, John Rajchman, Robert Wilson, Joel Kovel, Jack Smith, Jean-Fran?ois Lyotard, Ti-Grace Atkinson, Fran?ois Peraldi, and John Cage.

Sylvère Lotringer, general editor of Semiotext(e), lives in New York and Baja, California. He is the author of Overexposed: Perverting Perversions (Semiotext(e), 2007).
David Morris, a London-based writer, is Associate Editor at Afterall Books and an Associate Lecturer at University of the Arts, London. 

MOLECULAR AESTHETICS - THE MIT PRESS 2013





MOLECULAR AESTHETICS
edited by Peter Weibel and Ljiljana Fruk
The MIT Press
October 2013

Thanks to advances in molecular science and microscopy, we can visualize matter on a nanoscale, and structures not visible to the naked eye can be visualized and characterized. The fact that technology allows us to transcend the limits of natural perception and see what was previously unseeable creates a new dimension of aesthetic experience and practice: molecular aesthetics. This book, drawing on an exhibit and symposium at ZKM | Center for Art and Media Karlsruhe, documents aesthetic developments in what Félix Guattari called the “molecular revolution.”
Just as artists in the Bauhaus movement began to use such industrial materials as metal, Plexiglas, and alloys as raw materials, artists today have access to new realms of the molecular and nano. The industrial aesthetic of machinery and material has been transformed into an aesthetic of media and molecules. Molecular Aesthetics suggests ways in which art can draw inspiration from the molecular sciences—and ways in which science can use art to make experimental results more intelligible and comprehensible. The authors of the essays collected in the book discuss the creation of molecules of remarkable beauty and the functional properties that stem from a few geometrical principles of molecular design; address the history of molecular structure representation; examine the meaning of molecular aesthetics for scientists; and compare chemical structures to artworks.

Peter Weibel is Chairman and CEO of the ZKM | Center for Art and Media, Karlsruhe. He coedited Buffalo Heads: Media Study, Media Practice, Media Pioneers, 1973–1990, Paul Thek: Artist’s Artist, and other ZKM books copublished by the MIT Press.
Ljiljana Fruk is a research group leader and lecturer at the Karlsruhe Institute of Technology (KIT), DFG Centre for Functional Nanostructures (CFN), working on the design of nanoscale light-activated devices.

FULVIO MAGURNO: OBSESSION ROYAL - PALAZZO REALE, GENOVA





FULVIO MAGURNO
OBSESSION ROYAL
Museo di Palazzo Reale - Galleria degli Specchi
via Balbi 10 - Genova
dal 30/1/2014 al 13/2/2014

L’esposizione, attraverso 42 fotografie in bianco e nero, si propone di raccontare una storia composta di tanti piccoli dettagli più o meno nascosti del palazzo, dei suoi arredi o delle sue opere: particolari quando insignificanti, quando preziosi, riscoperti attraverso le sue immagini e il suo personale “occhio fotografico”.

giovedì 30 gennaio 2014

CHRISTIAN JANKOWSKI: HEAVY WEIGHT HISTORY - LISSON GALLERY, LONDON





CHRISTIAN JANKOWSKI
HEAVY WEIGHT HISTORY
Lisson Gallery
27 & 52 Bell Street - London
30/1/2014 - 8/3/2014

Last year the German artist Christian Jankowski travelled to Poland to produce Heavy Weight History, which consists of an installation, a 25-minute film and a series of photographs. Jankowski invited a group of burly weightlifters to try and pick up a number of massive public sculptures in the Polish capital of Warsaw, including more than one Communist-era memorial, a statue of Ronald Reagan and the figure of Syrenka the Mermaid, a famous, often vandalised symbol of the city, first erected in 1859. Wearing their national colours, the Polish champion powerlifters and bench- pressers struggle and strain to elevate these hefty bronze and brick monuments, metaphorically attempting to lift the very burden of history on to their shoulders.
Simultaneously disturbing and stimulating debates surrounding the still-raw history of Polish occupation by the Nazis, as well as the country’s protracted period of Soviet rule after WWII, Jankowski’s film conversely posits a light-hearted and socially- inclusive aspect to his controversial undertaking – that of reinvigorating locals’ relationships to oft-neglected bits of Varsovian public statuary. This questioning of the continued relevance and future siting of public sculpture continues a line of enquiry by Jankowski that has previously seen him create numerous life-size bronze Living Statues (2007) – simulacra of street performers posing as Julius Caesar and Che Guevara in Barcelona – as well as a giant socialist-realist sculpture based on an anachronistically luxurious photograph by one of the Mexican Muralists, entitled Monument to the Bourgeois Working Class (2012).
As with other films of Jankowski’s, such as Casting Jesus of 2011, the live, performative elements of Heavy Weight History have been documented in the style of scripted reality television, or specifically in this case as a convincing piece of outside broadcast coverage of a competitive sport, with a well-known Polish commentator on hand to describe the action. For his fourth solo show with Lisson Gallery in ten years, Jankowski is also presenting another recent film, Crying for the March of Humanity of 2012, in which an entire episode of a Mexican telenovela has been remade, except that the lines of dialogue have been replaced by actors sobbing and crying rather than speaking – extending the dramatic, climactic soap opera moment into something more like hysteria. Photo-realistic canvases from The China Painters series (2007-08), produced by copyists from the notorious ‘oil painting village’ of Dafen, complete Jankowski’s exhibition, while similarly highlighting the potentially serious ramifications of staging or altering reality, whether that manipulation happens through translation via mass-media or as a by-product of an inherent flaw in man’s nature. 

MICOL ASSAEL: ILIOKATAKINIOMUMASTILOPSARODIMAKOPIOTITA - HANGAR BICOCCA, MILANO





MICOL ASSAEL
ILIOKATAKINIOMUMASTILOPSARODIMAKOPIOTITA
a cura di Andrea Lissoni
Hangar Bicocca
via Chiese 2 - Milano
dal 30/1/2014 al 4/5/2014

La mostra comprende alcune delle più importanti installazioni dell’artista e due opere inedite che occuperanno interamente gli oltre 1800 mq di spazio dello Shed. Micol Assaël, nata in Italia ma vissuta quasi sempre all’estero, si è presto distinta come una delle voci più originali dell’arte europea e ha esposto nelle più importanti biennali e in numerosi musei tra cui il Palais de Tokyo di Parigi e la Kunsthalle di Basilea. Il progetto per HangarBicocca è un percorso che coinvolgerà gli spettatori in modo fisico e mentale mettendo in gioco in modo radicale la relazione delle opere con lo spazio.

Micol Assaël (1979) vive attualmente in Grecia. Fenomeni fisici, magnetismo, ingegneria elettrica, così come la loro interazione con il corpo umano, sono elementi centrali nella sua ricerca artistica. La percezione sensoriale, soprattutto quella dello spettatore, è infatti una componente fondamentale per l’artista: le sue installazioni, tanto radicali quanto poetiche, influenzano fisicamente e mentalmente lo spettatore, mettendolo spesso in una posizione di pericolo reale o supposto. Presso HangarBicocca Micol Assaël presenta quattro installazioni essenziali del suo percorso di ricerca e due opere inedite. Ha avuto mostre personali presso la Kunsthalle Basel, Basilea (2007), il Palais de Tokyo, Parigi (2009), Wiener Secession, Vienna (2009), Kunsthalle Fridericianum, Kassel (2009) e MUSEION, Bolzano (2010), e ha partecipato a mostre collettive fra cui la Biennale di Venezia (2003 e 2005), Manifesta (2004), la Biennale di Mosca (2005), la Biennale di Berlino (2006), la Biennale di Sydney e After Nature (New Museum, New York) (2008), Chasing Napoleon (Palais de Tokyo, Paris, 2009).

BARRICATE DI CARTA - MIMESIS 2014





BARRICATE DI CARTA
Cinema & Film e Ombre rosse, due riviste intorno al '68
a cura di Gianni Volpi, Alfredo Rossi, Jacopo Chessa
Mimesis, 15/1/2014
collana "Cinema"

«Cinema&Film» e «Ombre rosse», sono state le due riviste protagoniste della stagione culturale italiana negli anni attorno al sessantotto e hanno marcato, pur differentemente, sul piano teorico, politico e linguistico, ogni approccio successivo alla critica cinematografica. Autori giovanissimi si misuravano col mondo del cinema, della cultura e dell’agone politico attraverso la pratica furente e settaria della scrittura, per il cinema e per la vita. Il volume propone interventi su di esse e un’antologia di testi. Tornare a questa saggistica, tuttora insuperata, è culturalmente sorprendente e rimette in qualche modo in discussione l’odierno rapporto tra cinema e critica.

Gianni Volpi, storico e critico di cinema, presidente dell’Aiace Nazionale, è stato fondatore, con Goffredo Fofi e altri, della rivista «Ombre rosse».
Alfredo Rossi ha scritto su «Cinema&Film», «Nuova Corrente», «Bianco e Nero». Ha pubblicato diversi saggi e due monografie su Elia Kazan ed Elio Petri.
Jacopo Chessa è uno storico del cinema e documentarista
  

CRISTINA FORMENTI: IL MOCKUMENTARY - MIMESIS 2014





CRISTINA FORMENTI
IL MOCKUMENTARY
La fiction si maschera da documentario
Mimesis, 8/1/2014
collana "Cinema"

Da quando il britannico Peter Watkins, con The War Game (ld., 1965), ha dato vita al primo vero e proprio mockumentary della storia del cinema, il finto documentario è andato dilagando sia sul grande sia sul piccolo schermo. Queste opere, affascinanti in quanto falsificano le estetiche del cinema del reale per raccontare vicende di finzione, in Italia sono ancora poco indagate. Il volume, che si propone di contribuire a colmare questo vuoto, condurrà il lettore alla scoperta di tali ibridi, delineandone anatomia, storia e funzionamento per mettere in luce come, più che un genere, il mockumentary sia uno stile narrativo trasversale a generi e poetiche autoriali, nonché a diversi media.

Cristina Formenti è dottoranda di ricerca presso il Dipartimento di Beni culturali e ambientali dell’Università degli Studi di Milano, dove porta avanti un progetto incentrato sul documentario animato. Il suo principale interesse di ricerca è costituito da tutte quelle forme cinematografiche che appartengono al territorio della docufiction.

MARCO CARMINATI: LA GUERRA IN CORNICE - PALAZZO DUCALE, GENOVA 30/1/2014





I capolavori raccontati
MARCO CARMINATI
LA GUERRA IN CORNICE
Guernica di Picasso
Palazzo Ducale - Sala del Maggior Consiglio
piazza Matteotti 9 - Genova
giovedì 30 gennaio 2014, ore 21,00 

martedì 28 gennaio 2014

FRIEDENSREICH HUNDERTWASSER - ARKEN MUSEUM OF MODERN ART





FRIEDENSREICH HUNDERTWASSER
ARKEN Museum of Modern Art
Skovvej 100 DK-2635 Ishøj
29/1/2014 1/6/2014

“I want to show how basically simple it is to have paradise on earth.”

These are the words of the artist Friedensreich Hundertwasser, a painter, eco-activist and architect who sought to make the world a better place through paintings, manifestos and a more human architecture. Hundertwasser materializes paradise in brightly coloured paintings, fantastical buildings and a unique brand of eco-activism embracing everything from humus-toilet manifestos and tree-planting actions to plant-based root-zone treatment systems. He was controversial in his time. Today, his ideas about green architecture, ecology and urban gardening are more current than ever – even more so now that Copenhagen has been named European Green Capital 2014. From 1 February, you can experience Hundertwasser at ARKEN.
ARKEN is calling a press conference on the exhibition for Wednesday, 29 January, at 11 am. After a welcome by ARKEN Director Christian Gether, Curator Andrea Rygg Karberg will introduce the show. The press conference will be followed by lunch in the ARKEN Café.

Starting in February, ARKEN will be showing a large exhibition of the work of Friedensreich Hundertwasser (1928-2000). The artist gained worldwide renown in the 1960s and was widely influential throughout his eventful career. His unique imagery made it into many homes in the 1970s as prints or popular souvenirs from Vienna. But Hundertwasser was so much more than that. He was an uncompromising artist who, in his art, philosophy and lifestyle, fought to recreate harmony between nature and humanity. Today he is without doubt the most famous but also the most controversial Austrian artist of the post-war period.
In a year when Copenhagen has been named European Green Capital, ARKEN shines a spotlight on Hundertwasser’s painting, architecture, design and eco-activism. For him, art and life were two sides of the same coin. Art, clothes, homes, lifestyles, self-representation – even his name – were part of the big picture of the phenomenon of Hundertwasser.

Spirals and vegetal architecture
Hundertwasser’s paintings resemble living organisms. In fact, he once called himself a “magician of vegetation.” In their subject matter and forms, his paintings celebrate the beauty of nature. Hundertwasser harboured real hatred for geometrically straight lines. His wavy, asymmetric, brightly coloured architecture seems to grow and morph before our eyes. He sought to connect and reconcile the organic-vegetal world with the man-made. Trees and plants grow on the rooftops, through the buildings and out the windows.

Renewed currency
Hundertwasser carried out the first of his many action-based artworks about individual freedom and autonomy back in the 1950s as a showdown with Rationalist and Functionalist architecture. In his thoughts about sustainability and ecology and an art practice propelled by a basic utopian impulse Hundertwasser proved to be way ahead of his time.

“There is no doubt that Hundertwasser, in his ideas about green architecture, ecology and urban gardening, is more current than ever. But his utopian vision, his faith in the power of art, is also very relevant today. In a time of utopian deficiency, Hundertwasser makes for a surprising and inspiring acquaintance, who hits us right where we live,” ARKEN director Christian Gether says.

Catalogue
The exhibition is accompanied by a richly illustrated catalogue in Danish and English. The catalogue includes essays by Martin Zerlang, professor of comparative literature and modern culture at the University of Copenhagen, and the Danish artist FOS. The price of the catalogue is DKK 99.

PINOT GALLIZIO - GAM TORINO





PINOT GALLIZIO
a cura di Maria Teresa Roberto
Museo d'Arte Moderna-GAM
via Magenta 31 - Torino
dal 29/1/2014 al 6/4/2014

Il primo appuntamento di Surprise nel 2014 è dedicato a Pinot Gallizio in occasione del cinquantesimo anniversario della morte, avvenuta mentre egli stava preparando la sala personale alla Biennale di Venezia del 1964.

Pinot Gallizio (Alba, 1902-1964) teorizzò e praticò tra il 1956 e il 1959 la “pittura industriale”, intervenendo su lunghi rotoli di tela o carta e sperimentando nella Caverna dell’antimateria il passaggio dalla pittura alla costruzione d’ambiente. Il rapporto costante tra teoria e pratica, particolarmente intenso nel periodo della partecipazione all’Internazionale Situazionista di cui fu uno dei fondatori, l’interesse per la relazione tra arte e struttura della materia, le valenze antropologiche e sociologiche che caratterizzarono l’intero percorso di Gallizio aprono alle istanze e alle problematiche della ricerca artistica dei decenni successivi.
Tra il 1962 – con il ciclo delle Notti di Cristallo di cui fa parte la Notte barbara della GAM – e il 1963, la sua pittura si aprì a uno sguardo insieme geologico e cosmico, in cui la sperimentazione materica si traduceva direttamente in invenzione pittorica. Questa mostra, organizzata in collaborazione con l’Archivio Gallizio di Torino, mette a fuoco quella stagione attraverso quattro dipinti del 1963 in cui il segno a spirale si fa via via più teso ed essenziale, mentre la cromia si avvicina progressivamente al nero, colore dominante dell’ultimissima produzione dell’artista.

Surprise sarà inaugurata in concomitanza con la presentazione del dipinto La Notte barbara del 1962, mai inserito prima d’ora nel percorso delle collezioni della GAM. Eccezionale per le dimensioni e per la ricchezza del racconto pittorico, la tela è stata oggetto di un intervento di restauro presso il Centro Conservazione e Restauro La Venaria Reale, in collaborazione con l’Università di Torino. Surprise è un ciclo annuale di appuntamenti dedicati ad aspetti specifici della ricerca artistica torinese tra anni Sessanta e Settanta.

LOUIS A. SASS: FOLLIA E MODERNITÀ - RAFFAELLO CORTINA 2013





LOUIS A. SASS
FOLLIA E MODERNITÀ
La pazzia alla luce dell'arte, della letteratura e del pensiero moderni
Raffaello Cortina, 23/10/2013
collana "Scienza e idee"

Le analogie tra follia e modernità sono sorprendenti: sfida all’autorità e alle convenzioni, nichilismo e ironia dissacrante, rivolta a ogni cosa, un relativismo estremo, che può culminare nella paralisi, una disumanizzazione dilagante e la scomparsa della realtà esterna a favore di un Io onnipotente o, in alternativa, la dissoluzione di ogni senso dell’identità.
Secondo l’autore, i tratti fondamentali della follia schizofrenica sono esasperazioni di tendenze promosse dalla nostra cultura e tale affinità è messa in evidenza da un confronto con le opere di artisti e scrittori, tra i quali Giorgio de Chirico, Marcel Duchamp, Franz Kafka, Samuel Beckett, e prendendo in esame il pensiero di filosofi come Friedrich Nietzsche, Martin Heidegger, Michel Foucault e Jacques Derrida. In quest’opera densa e sorprendente, che ha segnato un vero punto di svolta, Sass si rifiuta di ammantare lo schizofrenico di un’aura romantica, come un eroico ribelle, un mistico o un selvaggio veemente, sostenendo invece che in questa condizione riecheggiano molti dei più alienanti aspetti della vita moderna.

Louis A. Sass insegna Psicologia clinica presso la Graduate School of Applied and Professional Psychology della Rutgers University, New Jersey. L’attività di ricerca e il lavoro clinico vertono sulla psicopatologia grave, soprattutto sulla condizione schizofrenica, schizoide e borderline. I suoi interessi interdisciplinari includono l’intersecarsi della psicologia clinica con la filosofia, l’arte, gli studi letterari e culturali.

ADRIANA CAVARERO: INCLINAZIONI - RAFFAELLO CORTINA 2014





ADRIANA CAVARERO
INCLINAZIONI
Critica della rettitudine
Raffaello Cortina, 15/1/2014
collana "Minima"

Una fra le più autorevoli filosofe italiane si interroga sul significato morale e politico della postura verticale del soggetto e propone di ripensare la soggettività in termini di inclinazione. Si tratta di due geometrie, di due costruzioni ontologiche. Mentre nella classica figura dell’uomo retto e nei vari dispositivi rettificanti della tradizione filosofica si annida un io egoistico, chiuso in sé, autosufficiente e autoreferenziale, nella figura dell’inclinazione prende invece forma un sé altruistico, aperto e spinto a uscire dal suo asse per sporgersi sull’altro. Il riferimento non è solo a testi filosofici (Platone, Agostino, Hobbes, Kant, Arendt, Jonas, Canetti), ma anche a prodotti artistici (le tele di Barnett Newman, di Leonardo da Vinci e di Artemisia Gentileschi, le fotografie di Aleksandr Rodcenko) e a pagine letterarie (Marcel Proust, Virginia Woolf). Il capitolo conclusivo è dedicato a Lévinas e alla decostruzione geometrica del suo incontro etico “faccia a faccia”.

Adriana Cavarero insegna Filosofia politica presso l’Università di Verona. Esponente di spicco del pensiero della differenza sessuale, è internazionalmente riconosciuta come una delle protagoniste più interessanti del dibattito filosofico attuale. Tra le sue pubblicazioni recenti, Orrorismo ovvero della violenza sull’inerme (Milano 2007). 

CORPUS NON ANIMUNM CONFLIGETIS - GALLERIA STUDIO 44, GENOVA





STELLA littlepoints... VENTURO
CORPUS NON ANIMUNM CONFLIGETIS
Galleria Studio 44
Vico Colalanza 12r - Genova
dal 16 Gennaio all'1 febbraio 2014

Corpus non Animum Confligetis.
Dal latino: colpirete il corpo, non le idee.
Costruirsi in testa una fortezza inespugnabile ma con tante finestre, per avere luce dentro e poter guardare fuori.

"Un’arte fatta di tratti semplici che ci fanno rivivere lo stupore che da bambini provavamo davanti al Mondo e arricchiscono la Realtà con la poesia del Sogno, distillando la parte migliore di noi.
Un’arte in cui il paradosso non svolge il ruolo di maestro di sospetto, ma di fiaccola di libertà, capace di insegnarci a guardare il quotidiano sotto aspetti differenti, evidenziando gli infiniti, fantastici universi nascosti dietro il Banale che, per pigrizia o abitudine, preferiamo ignorare." [Togaci Arte - www.togaci.com/]

Stella "littlepoints..." Venturo è nata a Roma nel 1981. Dopo essersi diplomata alla Scuola Internazionale di Comics come illustratrice, si dedica alla pittura acrilica su legno, senza escludere lavori in digitale, tele, incisioni su linoleum, inchiostri e acquarelli.
littlepoints... (si scrive: minuscolo, tutto attaccato e con i puntini), ha tre piccoli punti sotto l'occhio che si disegna tutti i giorni.
Attualmente vive a Genova dove continua a disegnare su un tavolo nuovo.
Come illustratrice e grafica collabora con diverse realtà editoriali (Carta, Banlieue, Cadillac Magazine, Zero, Quaderni dei Teatri di Roma, VoiciLaBombe).

lunedì 27 gennaio 2014

GENERATION Z - RE NOISE - KUNSTRAUM KREUZBERG / BETHANIEN, BERLIN





GENERATION Z - RE NOISE
Russian Pioneers of Sound Art and Musical Technology in the Early. 20th Century
Kunstraum Kreuzberg / Bethanien
Marianneplatz 2 - Berlin
25 January - 23 February 2014

Generation Z is an ongoing project by Andrey Smirnov and Liubov Pchelkina that attempts to restore the censored history and culture of the Russian artistic Utopia of the 1910s and 1920s, which was destroyed through its collision with the totalitarian state of the 1930s. This intense period of activity fostered a self-organizing, non-hierarchical, horizontal network of professional and social interrelations that fostered future scientific and cultural development. Musicians, artists, poets, scientists, psychologists, engineers, and thinkers in many other fields collectively joined forces to put into practice a socio-utopian vision. Many artists and musicians were ready to move their workshops to factories and industrial plants to mark the transition from individual to communal creativity; for those inspired with revolutionary ideas, avant-garde approaches to the arts became an integral aspect of social revolution.
This revolutionary period saw many compositional techniques and musical concepts arise, which either forecast future technology or even remain in use today. The Variophon, Theremin, Terpistone, Rhythmicon, Emiriton, and Ekvodin are just some of the amazing inventions that saw the light of day during this period. Voracious experimentation lead to the development of noise music, microtonal composition, kinetics, and performerless music, as well as the invention of graphical sound, which can be considered the first synthetically-generated music.
Graphical (or Optical) sound was predicted as far back as 1916 by Arseny Avraamov, who wrote: "By knowing the way to record the most complex sound textures by means of a phonograph, after analysis of the curve structure of the sound groove, directing the needle of the resonating membrane, one can create synthetically any, even most fantastic sound by making a groove with a proper structure of shape and depth". This technique led to a proliferation of trends including spectral analysis decomposition and re-synthesis technique, developed by Boris Yankovsky, which is related to the separation of the spectral content of sound and its composites, effectively acting as a precursor to the popular recent computer music techniques of cross synthesis and the phase vocoder. Predictions or forecasts of future technologies, such as the development of "radio-musical instruments", and networked communications channels (internet) also abounded at this time.
The results from this period were surprising and unexpected, and ahead of the times by decades. However, collision with the state in the 1930s was fatal. In less than ten years, all such experimental work was forced to an end, and was almost instantly forgotten. Many of the ideas and inventions were "invented" abroad later, and are still used today without knowledge of their true origin.
Following presentations in Paris, Budapest. St. Petersburg and Moscow, and the publication of the book Sound in Z: Experiments in Sound and Electronic Music in Early 20th-century Russia (Walter König 2013), the Berlin version of the Generation Z exhibition will be expanded with the new section ReNoise.

The ReNoise part of the exhibition explors the unique proletarian amateur noise music culture that thrived in post-revolution Russia. The complementary project to Andrey Sminrov and Liubov Pchelkina’s "Generation Z" research project sheds light on two main components of early Soviet noise art uniting these together for the first time. Through a variety of handmade proletarian instruments, the project explores amateur noise bands that were widely spread across post-revolutionary Russia. In a second section, a special selection of reconstructions of the more than 200 mechanical noise instruments invented by Vladimir Popov between the 1920-1950s will be displayed. This particular history remains hidden until today, partly due to the neglect typical of the Socialist Realism era, and partly because only a small amount of evidence has been preserved.
Although it is difficult to trace the origins of Soviet noise orchestras, they seemingly first appeared in 1921 as part of small agitational theatre troupes. Routed through ancient folklore and musical clownery, avant-garde sound art, and, in some ways, a taste for jazz, noise music quickly entered the terrain of Bolshevik mass education. These eccentric noise orchestras survived until the mid-1930s. However, they gradually shifted from small avant-garde theatres and agitprop brigades to larger proletarian masses, and appealed especially to the younger generation, for whom noise bands served as the initial step to musical education.
Another reason for the quick growth of proletarian noise ensembles was the deficiency of professionally manufactured instruments, especially after the World War I and the Civil War. These amateur practices advanced "art into life", by making no distinction between everyday life and art, production and culture, work and leisure, musical instruments and working tools. In this regard, the amateur noise movement partly satisfied what was proclaimed in 1923 by the productivist theoretician Boris Arvatov, "that for the first time musicians hadn’t a desire to organize artificial non-vital sound material, but material of life as such (street and factory noises etc.), noises of everyday life".
The ReNoise section of the exhibition offers an opportunity to examine some of the early Soviet noise instruments, many of which can be tried out be the visitors. It also shows select reconstructions of the more than 200 mechanical noise instruments invented by Vladimir Popov between the 1920s and 1950s.

Image: Evgeny Sholpo working with the first version of the Variophone in 1932. Courtesy of Marina Sholpo.

LIBERO DE LIBERO E GLI ARTISTI DELLA COMETA - GALLERIA D'ARTE MODERNA DI ROMA CAPITALE





LIBERO DE LIBERO
E GLI ARTISTI DELLA COMETA
Galleria d'arte moderna di Roma Capitale
via Francesco Crispi 24 - Roma
dal 28/1/2014 al 27/4/2014

Dal 28 gennaio al 27 aprile 2014 si svolge presso la Galleria d’Arte Moderna di Roma Capitale, in via Francesco Crispi, la mostra “Libero De Libero e gli artisti della Cometa” a cura di Maria Catalano, Federica Pirani, Assunta Porciani, promossa da Roma Capitale, Assessorato alla Cultura, Creatività e Promozione Artistica - Sovrintendenza Capitolina ai Beni Culturali e dalla Fondazione La Quadriennale di Roma.
La mostra vuole favorire la conoscenza di uno dei più raffinati intellettuali del nostro Novecento, Libero De Libero (Fondi 1903 – Roma 1981). Ancora poco noto al pubblico, De Libero fu un grande innovatore del gusto artistico italiano, grazie a una curiosità e a una intuizione d’impronta cosmopolita che traevano linfa dai suoi numerosi campi di attività: poeta, scrittore, cronista d’arte, sceneggiatore, organizzatore culturale. La mostra, in particolare, ripercorre la straordinaria esperienza di De Libero alla guida della galleria “La Cometa”, esponendo 40 opere di artisti da lui sostenuti e lanciati, che oggi appartengono alla collezione permanente della Galleria d’Arte Moderna di Roma Capitale. Proprio nel corso degli anni Trenta, infatti, la collezione veniva incrementata con un nutrito numero di acquisizioni così da offrire un panorama ben esaustivo dell’arte italiana. Completano la selezione, una serie di ritratti di Libero de Libero, eseguiti dai più importanti artisti del Novecento e provenienti da collezione privata. Accanto alle opere, un nucleo di inediti materiali d’archivio, provenienti dalla Quadriennale, che di recente ha ricevuto dagli eredi di De Libero il suo fondo privato, non ancora accessibile al pubblico per la consultazione.
Al terzo piano del museo, si apre al visitatore un percorso tra dipinti, sculture, disegni di artisti che esposero negli anni alla Cometa, quali Afro, Milena Barilli, Giuseppe Capogrossi, Giovanni Colacicchi, Felice Casorati, Ferruccio Ferrazzi, Nino Franchina, Guglielmo Janni, Carlo Levi, Giacomo Manzu', Roberto Melli, Fausto Pirandello, Gino Severini, Alberto Ziveri. È una campionatura significativa - attraverso capolavori riconosciuti e opere inedite o poco note della collezione - che ben rappresenta l’arte alla quale De Libero era interessato, perlopiù a una certa distanza dagli ambienti ufficiali, capace di autonomia di ricerca e aperta al confronto con gli stimoli che provenivano anche da altri paesi, sempre in rapporto dialettico con i valori della tradizione nazionale.

In tre anni di attività (1935-1938), sotto la guida di De Libero e grazie al sostegno della fondatrice, la mecenate Mimì Pecci Blunt, “La Cometa” diventa un autorevole centro di produzione espositiva ed editoriale: trentasei mostre a Roma nei locali in Piazzetta Tor de’ Specchi, una succursale a New York e un’altra a Parigi pronta ad aprire i battenti, una collezione di opere inedite di scrittori italiani con edizioni speciali arricchite dai disegni di artisti. La Cometa arriva a influenzare le scelte delle Biennali veneziane e delle Quadriennali romane, ma, invisa agli organi di regime, è costretta a chiudere con l’arrivo delle leggi razziali.
Il catalogo della mostra “De Libero e gli artisti della Cometa”, pubblicato da Palombi Editori, si avvale dei contributi di Giuseppe Appella, Lorenzo Cantatore, Alessandra Grandelis, oltre che delle curatrici della mostra, Maria Catalano, Federica Pirani, Assunta Porciani.

In concomitanza della mostra, la Rai, attraverso la sua direzione Teche, ha prodotto un documentario dal titolo “Gli approdi di De Libero”, di Silvana Palumbieri, che verrà presentato in mostra. Ulteriori iniziative, quali conferenze, incontri, proiezioni, sono previste durante il periodo di apertura della mostra al fine di valorizzare la ricchezza del materiale documentario e visivo che gravita intorno la figura di Libero De Libero.

La mostra alla Galleria d’Arte Moderna di Roma Capitale avviene in un momento di rinnovato interesse per la figura di De Libero, il cui studio è fondamentale per ricostruire la fitta rete di relazioni, non ancora del tutto sondate, tra artisti, poeti, scrittori che caratterizza la scena artistica italiana di lunga parte del Novecento, come del resto già evidenzia l’allestimento attuale del museo con la mostra “Legami e corrispondenze. Immagini e parole attraverso il ‘900 romano” (con catalogo sempre di Palombi Editori).

Immagine: Giuseppe Capogrossi, Giuochi, 1935 ca., olio su tela.

JASON RHOADES, FOUR ROADS - PRESTEL 2014





JASON RHOADES, FOUR ROADS
by Ingrid Schaffner, Martha Buskirk, Chris Kraus, Linda Norden
Prestel
(January 25, 2014)

This volume examines the remarkable legacy of Jason Rhoades's complex body of work. The Los Angeles-based sculptor Jason Rhoades was widely celebrated for sprawling, ambitious, and daring installations, editions, and events prior to his untimely death in 2006. Although he was far better known in Europe than America, many of Rhoades's peers considered him to be one of the most important artists of his generation. In his work, cultural touchstones ranged from high to low, including the artists Marcel Duchamp, Donald Judd, and Paul McCarthy, race-car driver Ayrton Senna, actor Kevin Costner, the big bang, Swedish erotica, and the California gold rush. This volume, accompanying the first US survey of his works, centers on four highly sensory, large-scale pieces that incorporate neon, radio, smoke rings, and even a model train into large environments that engulf the viewer. These four canonical installations are navigated via five critical essays that help unify Rhoades's labyrinthine, often-overwhelming methods into the single overarching project he envisioned. The book also features illustrations of each major work dating from 1991 to 2006, accompanied by explanatory texts that illuminate Rhoades's materials and methods as both highly accessible and artistically complex.

JEFFREY WEISS: ROBERT MORRIS - YALE UNIVERSITY PRESS 2014





JEFFREY WEISS
ROBERT MORRIS
Object Sculpture 1960-1965
Yale University Press
(January 28, 2014)

Over the past half-century, American artist and critic Robert Morris (b. 1931) has been a key figure in the history of minimal, post-minimal, and conceptual art. Between 1960 and 1965, part of his artistic output included approximately 100 “object sculptures” or, as Morris called them at the time, “process type objects.” These consist of plaques, containers, and assisted or simulated readymades of wood, Sculpmetal, and lead. This book is the first study to address the object sculptures as a full and complex yet coherent body of work. Jeffrey Weiss, an authority on modernist and postwar sculpture, in close collaboration with Morris, systematically catalogues the object sculptures, and subjects them to critical and historical interpretation in the context of Morris’s early practice overall. Featuring new photography of many of the works and an interview with the artist, this book offers an important and original perspective on a crucial early period in the career of one of America’s most important artists. 

ANNA FRANK, UNA STORIA ATTUALE - MUSEO EBRAICO, GENOVA





ANNA FRANK, UNA STORIA ATTUALE
Museo Ebraico
via Bertora 6 - Genova
dal 22/1/2014 al 14/3/2014

Inaugurata mercoledì 22 gennaio nella sede del Museo, in via Bertora 6, la mostra dedicata alla giovanissima ebrea tedesca, divenuta simbolo della Shoah. Ideata e prodotta dalla Fondazione Anne Frank di Amsterdam, la mostra è stata tradotta in oltre 25 lingue ed ha viaggiato in più di 150 Paesi del mondo, ponendosi come centro propulsore di attività quali corsi di formazione per gli insegnanti e progetti didattici per gli studenti.
La mostra resterà aperta fino al 14 marzo. Sarà visitabile tre giorni a settimana: la domenica dalle 11 alle 18, martedì e giovedì dalle 10 alle 17. L’ingresso è libero.
Si rivolge ad un pubblico di ogni età e intende stimolare una riflessione sul significato di ideali quali la tolleranza, il rispetto reciproco e la democrazia, valori fondamentali per il mantenimento di una società democratica e pluralista.

La mostra illustra il tema della persecuzione degli ebrei durante la Seconda Guerra Mondiale attraverso la biografia di Anne Frank. Le fotografie, in gran parte inedite, le immagini e le citazioni delle pagine del diario di Anne fanno emergere le condizioni in cui una famiglia ebrea fu costretta a vivere durante il periodo nazista. La mostra sa fornire collegamenti non banali o scontati con l'attualità e invita a prendere parte attiva ai problemi del presente a partire dalla conoscenza del passato; non a caso gli ultimi pannelli si focalizzano sull'attività dei Tribunali Internazionali e sulla difesa dei diritti umani (nella foto la scrivania di Anne nel Museo a lei dedicato)
L'intreccio di due piani narrativi, la storia di Anne e della sua famiglia da un lato e gli eventi che hanno travolto l'Europa in quegli stessi anni dall'altro, riesce a porre efficacemente in rilievo temi quali il fanatismo politico e la ricerca di un capro espiatorio, le epurazioni, l'atteggiamento nei confronti degli ebrei, la Shoah e le violazioni dei diritti umani.
Il taglio biografico e soggettivo che caratterizza l'impostazione della mostra è ben sintetizzato da una frase di Abel Herzberg, avvocato e scrittore olandese deportato a Bergen Belsen che disse: “ Non ci sono sei milioni di ebrei sterminati, c'è un ebreo ucciso e questo è successo sei milioni di volte”. E' evidente, infatti, quanto la possibilità di seguire i destini di singoli individui, possa favorire la comprensione del contesto storico.

Anne Frank nacque il 12 giugno del 1929 a Francoforte sul Meno in Germania. Nel 1933, in seguito all'ascesa del nazismo, la famiglia Frank si trasferì nei Paesi Bassi. L'occupazione nazista dei Paesi Bassi, nel maggio del 1940, e il progressivo inasprimento della persecuzione antiebraica indusse i Frank, nel luglio del 1942, a rifugiarsi in un nascondiglio sul retro dell'ufficio di Otto Frank, ad Amsterdam in Prinsengracht 263. Due anni dopo, tuttavia, i Frank e le altre quattro persone che si trovavano nel nascondiglio furono scoperte, arrestate e deportate. Il padre di Anne fu l'unico a sopravvivere alla deportazione.

CONTROL STEPHEN WILLATS - RAVEN ROW, LONDON






CONTROL STEPHEN WILLATS
WORK 1962-1969
Raven Row
56 Artillery Lane - London
23 January–30 March 2014

This is the first survey of work by Stephen Willats from the sixties. Willats (born and lives in London) was introduced to art as a teenage gallery assistant in 1958 and by 1962 was producing advanced artwork. He embraced the transdisciplinarity of the time, juggling the roles of social scientist, engineer, designer and artist, and developed an art about social interaction, using models derived from cybernetics, the hybrid post-war science of communication.
As well as the clothing and furniture made in 1965 when he briefly described himself as a ‘conceptual designer,’ Willats’ earliest sculptural series of “Manual Variables” is haptic and interactive. These are shown alongside early issues of Control, the still-operating magazine he founded in the same period. Its title is a provocation, invoking the cybernetic idea that people can take control of their environments, thereby deflecting the controls of a dominant hierarchy.
In 1968 Willats made an exhibition at the Museum of Modern Art Oxford in which he presented constructions involving movement and light—some wall-mounted, others large-scale environments—that were informed by his interest in contemporary theories: about probability and prediction, behavioural science, subliminal advertising, and colour in relation to motivation and learning. The display of these at Raven Row is based on the darkened maze in which they were installed at Oxford, where they were proposed as experimental stimuli for ‘states of consciousness.’
Willats’ works on paper from this period elegantly combine cybernetic modelling, architectural graphics and constructivist geometries, and are consistent with his practice of today. However, he abandoned his dynamic constructions at the end of the sixties in pursuit of an art of social interaction beyond gallery and art object, for which he became well-known. This exhibition reconvenes this earlier work for the first time.

The exhibition is accompanied by an illustrated publication, with texts by Antony Hudek, Emily Pethick, Christabel Stewart and Andrew Wilson. It is curated by Alex Sainsbury.

Variable Shift Machine No. 1, 1963 - Wood, glass, tin, paint and electronic components - Courtesy the artist and Victoria Miro, London 

L'ARTE ITALIANA E I MUSEI - MAXXI, ROMA 27/1/2014





L'ARTE ITALIANA E I MUSEI
Realtà e prospettive
MAXXI B.A.S.E. - Sala Graziella Lonardi Buontempo
via Guido Reni 4/A - Roma
lunedì 27 gennaio 2014, ore 18,00

Secondo appuntamento del ciclo "Intorno all'Arte contemporanea italiana", promosso dal Museo e da La Quadriennale di Roma e a cura di Ludovico Pratesi, per riflettere sull’attuale situazione delle arti visive nel nostro paese ed evidenziarne le possibili prospettive future di sviluppo.
Al MAXXI il secondo appuntamento del ciclo Intorno all’Arte contemporanea italiana, promosso dal Museo e da La Quadriennale di Roma e a cura di Ludovico Pratesi, per riflettere sull’attuale situazione delle arti visive nel nostro paese ed evidenziarne le possibili prospettive future di sviluppo.
L’incontro si propone di riflettere sul rapporto tra artisti e musei in Italia. Un incontro dedicato all’analisi della presenza dell’arte italiana nei programmi di musei e fondazioni in Italia; è pensato come un laboratorio in progress, in cui si confrontano le esperienze di curatori, direttori di musei, galleristi, artisti, studiosi ed esperti per delineare una serie di proposte volte a promuovere l’arte italiana in un contesto globale.

Modera Ludovico Pratesi

Intervengono:
Anna Mattiolo Direttore MAXXI Arte, consiglio direttivo AMACI
Marcello Smarrelli Direttore artistico Fondazione Pastificio Cerere
Gail Cochrane Direttore artistico Fondazione Spinola Banna per l’Arte
Franziska Nori Direttore Centro di Cultura Contemporanea Strozzina
Franco Nucci Presidente Fondazione VOLUME!
Angela Tecce Direttore Museo Castel Sant’Elmo

E gli artisti:
Flavio Favelli, Margherita Moscardini, Valerio Rocco Orlando, Gian Maria Tosatti, Luca Trevisani

HENRI BEHAR, MICHEL CARASSOU: LE SURRÉALISME PAR LES TEXTES - CLASSIQUES GARNIER 2014





HENRI BEHAR, MICHEL CARASSOU
LE SURRÉALISME PAR LES TEXTES
Classiques Garnier, 8/1/2014
collection "Dictionnaires et synthèses"

Cet ouvrage étudie les débats qui ont opposé les tenants et les détracteurs du surréalisme, ainsi que la réflexion et le travail de création de ses divers protagonistes. Il permet de mieux comprendre les enjeux de ce qui demeure la plus grande révolution littéraire et intellectuelle du xxe siècle. 

BENJAMIN FONDANE ET CLAUDE VIGÉE - HONORÉ CHAMPION 2014





BENJAMIN FONDANE ET CLAUDE VIGÉE
Le questionnement des origines
soous la direction d’Anne Mounic
Honoré Champion, 23/1/2014
collection "Colloques, congrès et conférences-littérature comparée"

C’est après la Seconde Guerre mondiale que Claude Vigée découvre, grâce à André Néher, l’œuvre de Benjamin Fondane. C’est en effet dans les années 1960 que Claude Vigée ressent, en le lisant, une sorte de fraternité avec ce poète juif d’origine roumaine, assassiné le 3 octobre 1944 à Birkenau. Ces deux poètes, à des moments différents (Fondane est né en 1898 à Jassy, en Roumanie ; Vigée, en 1921, à Bischwiller, en Alsace), ont de fait entrepris ce questionnement des origines que les auteurs de cet ouvrage proposent d’explorer, en mettant en regard l’œuvre de Fondane et celle de Vigée, ainsi qu’ils l’ont présenté lors du colloque qui s’est tenu à Paris 3 Sorbonne Nouvelle les 15 et 16 juin 2012.
Les différents contributeurs, venus d’horizons assez variés, aspirent à révéler les affinités et les divergences entre deux oeuvres qui, face à l’Histoire, ont passé au crible la pensée occidentale, mettant en question le dualisme idéaliste. Ils trouvent dans le poème la façon exacte de dire que, si l’esprit veut atteindre à la plénitude d’être, il doit s’imprégner de la réalité sensible et accueillir cette formidable puissance de la bénédiction, à la fois montée des eaux, fertilité, fécondité, puissance d’être et de dire, voix.  

OCCHIO QUADRATO. ALBERTO LATTUADA FOTOGRAFO E CINEASTA - PALAZZO DELLA MERIDIANA, GENOVA





OCCHIO QUADRATO
Alberto Lattuada fotografo e cineasta
Palazzo della Meridiana
salita San Francesco 4 - Genova
dal 25/1/2014 al 23/3/2014

Sabato 25 Gennaio a Palazzo della Meridiana apre la mostra “Occhio Quadrato – Alberto Lattuada fotografo e cineasta”, curata da Pietro Boragina e Giuseppe Marcenaro. La mostra prende spunto dall’attività di fotografo del regista Alberto Lattuada, vocazione che precedette, quale “punto di vista parallelo” la realizzazione dei suoi film. Già dal 1941 Lattuada aveva percepito il valore del “reale” esplorato dalla macchina fotografica.
Le immagini realizzate in quel tempo furono esposte in una mostra che si tenne nella galleria milanese del gruppo di “Corrente”, di cui Lattuada era parte, assieme a una nuova generazione di letterati e artisti che avrebbero segnato la cultura italiana. La sequenza di fotografie di Lattuada fu chiamata Occhio quadrato.
La mostra che viene ospitata a Palazzo della Meridiana presenta l’“antica” serie di Occhio quadrato e altri corposi gruppi di immagini che documentano la tecnica di Lattuada nella preparazione delle inquadrature cinematografiche, inquadrature che il regista studiava attraverso preventivi scatti fotografici. Di grande interesse la serie di polaroid, con appunti autografi di Lattuada, utilizzate come “brogliaccio” visivo per un documentario su Genova.
E’ allestista anche una sezione correlata, dovuta a Paola Franci, la fotografa prediletta da Lattuada, che farà scoprire i vari set di alcuni tra i suoi più celebrati film: Il mulino del Po, Senza pietà…

Immagine: Alberto Lattuada sul set de "La Lupa" (foto di Federico Patellani) 

sabato 25 gennaio 2014

HARUN FAROCKI. PARALLELE - GALERIE THADDAEUS ROPAC, PARIS





HARUN FAROCKI
PARALLELE
Galerie Thaddaeus Ropac
7, rue Debelleyme - Paris
15 janvier - 15 février 2014

Harun Farocki est un cinéaste et artiste dont l'œuvre a marqué de façon décisive l'histoire du film politique depuis la fin des années 60. A côté d'une centaine de productions réalisées pour la télévision et le cinéma, Harun Farocki a œuvré à la transmission de ses réflexions sur le rapport entre la société, la politique et l'image animée pendant ses longues années d'activités comme auteur et rédacteur de la revue Filmkritik, mais aussi comme commissaire d'exposition et professeur à Berkeley, Harvard et Vienne.
Une installation en quatre volets intitulée Parallele I-IV (2012-2014) à laquelle Harun Farocki a travaillé pendant ces deux dernières années sera présentée pour la première fois ici.
Depuis des années, une question parcourt l'œuvre de Harun Farocki telle un leitmotiv: comment les images fabriquées à l'aide des nouvelles technologies influencent et déterminent-elles notre espace social et politique, nos consciences et nos habitudes?
Dans ce dernier cycle, Harun Farocki décrit l'histoire des trente années d'existence de l'image générée par ordinateur tout en se concentrant sur ce qui concerne l'animation. L'hypothèse qui sous-tend ce travail est que nous vivons dans des mondes producteurs d'images de synthèse, que Harun Farocki qualifie de typiques et idéales. La réalité semble cesser bientôt d'être l'étalon d'une image imparfaite, mais l'image virtuelle devient l'étalon d'une réalité imparfaite.
«Dans Parallele, ce cycle en quatre volets, il s'agit d'images d'animations générées par ordinateur. Ce type d'images est en train de devenir un modèle qui rivalise avec le cinéma. Au cinéma, on a le vent qui souffle et le vent produit par une soufflerie. Dans les images générées par ordinateur, ces deux sortes de vent n'existent pas.
Parallele I ouvre le cycle par une petite histoire du style de l'infographie. Les premiers jeux des années quatre-vingt ne connaissaient que les lignes verticales et horizontales. Cette abstraction était ressentie comme lacunaire; aujourd'hui, c'est le règne d'un style représentatif s'orientant au photoréalisme.
Parallele II et III interrogent les limites du jeu et la nature des objets. Il apparaît que de nombreux univers du jeu ont la forme d'un disque qui plane dans l'univers, un souvenir des représentations du monde pré-hellénistique. Ces mondes présentent une rampe à l'avant et une perspective à l'arrière à la manière des scènes de théâtre. Dans ces jeux, les choses n'ont pas d'existence en soi. Chacune de leurs propriétés doit être construite à part puis leur être attribuée.
Parallele IV examine les héros du jeu, les personnages principaux que les joueurs et joueuses poursuivent à travers le LA des années 40, les univers post-apocalyptique, les paysages de western ou d'autres genres de mondes. Ces héros n'ont pas de parents, pas de maîtres, ils doivent eux-mêmes découvrir les règles en vigueur. Ils ne possèdent guère plus qu'une expression faciale et quelques traits de caractère qu'ils manifestent par un petit nombre de phrases laconiques et de valeur égale. Ce sont des homuncules, des humanoïdes créés par l'homme. Quiconque joue avec eux participe de la fierté du créateur.»

À l'occasion de son soixante-dixième anniversaire, qu'Harun Farocki célébrera cette année, ainsi que des expositions monographiques de Berlin et de Paris, les éditions de la librairie Walther König publient Harun Farocki, Diagrams, un livre qui tente pour la première fois d'aborder l'œuvre de Harun Farocki par le biais de la disposition spécifique de ses images et des styles d'un ensemble de 15 films et installations.

IL MONDO DI IRENE BRIN - ACCADEMIA COSTUME E MODA, ROMA





IL MONDO DI IRENE BRIN
a cura di Claudia Palma
Accademia Costume e Moda
via della Rondinella 2 - Roma
dal 26/1/2014 al 26/2/2014

L’Accademia Costume e Moda di Roma ospiterà, dal 26 gennaio al 21 febbraio, la mostra documentaria “Il mondo di Irene Brin”, curata da Claudia Palma, Direttore dell’Archivio bioiconografico e Fondi storici della Galleria nazionale d’arte moderna. L’esposizione, organizzata in occasione della Settimana dell’Alta Moda di Roma, vuole ricordare la scrittrice, giornalista di costume, promotrice del Made in Italy nel mondo, a cui Rosana Pistolese, fondatrice dell’Accademia, ha dedicato un premio nel 1969, giunto oggi alla quarantacinquesima edizione. La mostra “Il Mondo di Irene Brin” ripercorre la vita, il lavoro e gli interessi di Irene attraverso fotografie, documenti, opere d’arte, vestiti e accessori provenienti dai fondi archivistici della Galleria nazionale d’arte moderna e dall’Associazione Irene Brin di Sasso di Bordighera. Figura poliedrica e dalle mille sfaccettature, scrittrice, gallerista insieme al marito Gaspero del Corso, è stata anche Rome editor per la rivista americana Harper’s Bazaar. Attenta ai cambiamenti dell’Italia post bellica, ha raccontato nei suoi numerosissimi articoli i mutamenti di costume di un paese “affascinato” dal modello americano.
Saranno esposte fotografie che ritraggono Irene e i familiari, alcune di autori quali Avedon e Leslie Gill; fotografie dei vernissage, in cui gli artisti posano accanto alle proprie opere negli spazi espositivi della Galleria L’Obelisco, fondata da Irene e Gaspero del Corso nel 1946, prima galleria ad aprire a Roma nel secondo dopoguerra e promotrice del Surrealismo, dell’Informale, dell’Op e di artisti internazionali quali Calder e Rauschenberg. Una parte del materiale fotografico e documentario sarà dedicato al rapporto di Irene con la Moda. Diverse fotografie, ritraggono attrici americane e italiane che indossano vestiti e accessori prodotti dalle case di moda italiane, di cui la Brin fu sostenitrice all’estero: Fontana, Carosa, Simonetta, Gattinoni, Fabiani, Capucci, Lancetti. Con questa mostra si vuole sottolineare la capacità di Irene di far dialogare il proprio interesse per l’arte con la moda e viceversa: saranno presenti le illustrazioni di Brunetta Mateldi, le immagini di moda il cui set è la stessa Galleria L’Obelisco, la dama optical di Filippo Panseca accanto alla fotografia di un cappotto bianco e nero di Capucci. Oltre al vestito Fabiani di Irene Brin, verrà esposto quello realizzato su disegno di Giacomo Balla, artista prediletto dai coniugi del Corso, presentato già durante la serie di mostre che L’Obelisco gli dedicò nell’intero anno 1968. Un’altra passione coltivata da Irene insieme al marito Gaspero era il viaggio, testimoniata in mostra dalle numerose fotografie scattate in Europa, Stati Uniti, Sud-est asiatico e America Latina. Prostitute di Bombay, danzatrici thailandesi, musicisti di Bali e uomini afroamericani sono i protagonisti degli scatti, un prezioso reportage ambientale, che denota una ricerca estetica unita a una particolare vena narrativa. Il percorso si conclude con la proiezione di due video: il primo, realizzato dalla giornalista-scrittrice Flavia Piccinni, narra la vita di Irene attraverso interviste a persone che l’hanno conosciuta; il secondo è il racconto della realizzazione dell’opera dell’artista Maria Dompè, concepita per il giardino della casa di Irene a Sasso di Bordighera.
In mostra, il giorno dell’inaugurazione, un piatto di Pablo Picasso, già presentato nel 1970 a L’Obelisco nella collettiva “Primitivi e no”, gli otto “Fiori” di Giacomo Balla, eseguiti su disegno dell’artista nel 1968 per la mostra “Giacomo Balla: ricostruzione futurista dell’universo”, tenutasi presso la Galleria L’Obelisco, e il ritratto di Irene Brin di Massimo Campigli, il quale sosteneva «Irene è così campigliesca che tutto diventa troppo facile, devo spiegare la sua tristezza».

In collaborazione con: Galleria nazionale d’arte moderna e Associazione Irene Brin di Sasso di Bordighera

L’inaugurazione avrà luogo il 26 gennaio alle ore 10:00 presso l’Accademia Costume e Moda di Roma, via della Rondinella 2 preceduta da una tavola rotonda cui partecipano Claudia Palma, Bonizza Giordani Aragno e Vittoria Caterina Caratozzolo.