sabato 31 dicembre 2011

FANTIN-LATOUR, MANET, BAUDELAIRE: L’HOMMAGE A DELACROIX - MUSEE DELACROIX, PARIS


FANTIN-LATOUR, MANET, BAUDELAIRE
L’HOMMAGE A DELACROIX
Musée Delacroix
6 rue de Furstenberg - Paris
7 décembre 2011 – 19 mars 2012

1863, année du scandale du Déjeuner sur l’herbe de Manet au Salon des Refusés, est aussi celle de la mort d’Eugène Delacroix dans son appartement de la place de Fürstenberg. Choqué par la tiédeur des hommages officiels rendus à l’artiste lors de sa disparition, Fantin-Latour se lança dans la réalisation de son fameux Hommage à Delacroix pour le Salon suivant : toile-manifeste qui rassemblait une nouvelle génération d’artistes novateurs, et de critiques comme Baudelaire et Champfleury, autour de l’austère effigie du maître disparu. Manet, Whistler, Legros, Bracquemond et les autres n’étaient pourtant pas des disciples fidèles, mais en se plaçant sous son égide, ils revendiquaient une même liberté artistique face aux conventions.
L’exposition du musée Delacroix retrace l’aventure de cette grande toile, sa conception, les variantes, les élus et les exclus. Elle relate cette fraternité artistique à travers les portraits croisés des artistes en présence et les œuvres qui les rattachent à l’héritage de Delacroix. Au-delà, elle évoque la question des portraits de groupes d’artistes et des vues d’atelier comme lieu de sociabilité, à commencer par celui de Frédéric Bazille situé dans l’immeuble mitoyen. Enfin, l’exposition se conclue sur l’hommage officiel confié finalement au sculpteur Jules Dalou, dont le monument à Delacroix fut érigé au Luxembourg, au moment où Paul Cézanne, brossait de son côté son Apothéose de Delacroix,- éclatante reconnaissance de la place du maître comme porte drapeau de la modernité.

ARTE POVERA IN TEATRO - TEATRO MARCHERITA, BARI


ARTE POVERA IN TEATRO
a cura di Germano Celant e Antonella Somaini
Teatro Margherita
piazza Quattro Novembre - Bari
dal 15/12/2011 all'11/3/2012

Nella prospettiva di un’attività espositiva che intende mettersi in relazione alle manifestazioni che segnano il territorio museale italiano, il Comune di Bari ha pensato di relazionarsi al grande evento Arte Povera 2011, commissionando una mostra per il Teatro Margherita che si aprirà dal 15 dicembre 2011 e il cui titolo è Arte Povera in Teatro.
L’evento, che comprende opere di Giovanni Anselmo, Alighiero Boetti, Pier Paolo Calzolari, Luciano Fabro, Mario Merz, Marisa Merz, Jannis Kounellis, Giulio Paolini, Pino Pascali, Giuseppe Penone, Michelangelo Pistoletto, Emilio Prini e Gilberto Zorio, rappresenta tanto l’occasione di una rilettura del contesto architettonico, quanto l’indicazione di un futuro inserimento del Teatro Margherita nel sistema delle istituzioni culturali italiane.
Nel dettaglio, essendo stato scelto l’imponente Teatro Margherita come spazio di partecipazione ad Arte Povera 2011, il curatore Germano Celant, con Antonella Soldaini, ha pensato di progettare una selezione di opere che potessero mettersi in dialogo con il percorso ambientale dell’edificio costruito all’inizio del secolo in stile liberty, parzialmente distrutto dopo un devastante incendio e ora in via di definizione funzionale e culturale.
È nata così l’idea di Arte Povera in Teatro, dove i lavori dei singoli artisti si adatteranno alle strutture ancora totalmente indefinite dell’ingresso e delle balconate, delle verande e delle scale, in modo che la presentazione della grande sfera di carta straccia compressa del diametro di 5 metri di Pistoletto si inserisca sorprendentemente nel percorso espositivo. Stesso discorso per la canoa dal forte sibilo di Zorio, affinché si innesti nella cupola del foyer, o ancora per l’albero di Penone e i numeri di Fibonacci di Mario Merz, affinché funzionino da fulcri di un arcipelago di punti energetici, insieme ad altre installazioni specifiche di Fabro, Anselmo, Marisa Merz e di Cazolari, che entreranno anche in dialogo con l’opera di Kounellis Senza titolo, già presente dal 2010 all’interno del Teatro Margherita.
Un insieme sorprendente e inconsueto che con l’aggiunta di lavori di Boetti, Prini, Paolini, e Pascali, intende offrire una visione spettacolare dell’Arte Povera.

PHILIPPE LACOUE LABARTHE: AGONIE TERMINEE, AGONIE INTERMINABLE - SUR MAURICE BLANCHOT - GALILEE


PHILIPPE LACOUE-LABARTHE
AGONIE TERMINEE, AGONIE INTERMINABLE - SUR MAURICE BLANCHOT
suivi de : L'Emoi
Galilée, 13/10/2011
collection "La philosophie en effet"

Dans « Le miracle secret », Borges imagine la mort étrange d’un écrivain praguois que la Gestapo arrête en mars 1939 et condamne, au seul prétexte qu’il est juif et qu’il a été dénoncé comme tel, à être passé par les armes. La nuit qui précède son exécution, il a rêvé que la voix même de Dieu lui accorde le temps nécessaire pour achever son travail. Le lendemain à l’aube, entre le moment où les soldats du peloton braquent leurs fusils sur lui et celui de la décharge mortelle, le temps de l’« univers physique » est comme suspendu : l’écrivain remanie et accomplit en secret son « oeuvre », à jamais pourtant inachevée.
À la considérer sous l’angle de son ultime « récit » publié, L’Instant de ma mort, et d’un énigmatique fragment « autobiographique » antérieur, « (Une scène primitive ?) », on est peut-être en droit d’estimer que le conte de Borges emblématise assez bien l’oeuvre « désoeuvrée » de Blanchot, tout entière écrite ou réécrite, achevée inachevable, dans le temps incommensurable qui sépare le 20 juillet 1944, date à laquelle il faillit être fusillé par les nazis (ou telle journée de l’hiver 1914 ou 1915, qui fut celle d’une extase enfantine), et la mort désormais survenue le 20 février 2003 : le temps atemporel de l’agonie native et de la mort immémoriale, « impossible nécessaire », qui aura autorisé la dernière méditation de celui qui avait interrogé sans relâche la Littérature ou l’Écriture dans sa possibilité même.
Ce livre tente de proposer une lecture de ces deux textes. Plus exactement, il les interroge pour mettre à l’épreuve ce qui, à travers la hantise du « mourir », s’est joué quant aux catégories majeures de la fiction et du mythe, du testimonial et du testamentaire, de l’aveu et du secret, de la non-présence à soi et du retrait, de l’autre (éthique) et de l’être-ensemble (politique), etc. Mais surtout quant à ce qu’il faut bien se résoudre à nommer l’écriture posthume de Blanchot.

JACQUES RANCIERE: AISTHESIS - GALILEE


JACQUES RANCIÈRE
AISTHESIS
Scènes du régime esthétique de l'art
Galilée, 13/10/2011
collection "La philosophie en effet"

Du Torse du Belvédère analysé par Winckelmann au décor des métayers de l’Alabama décrit par James Agee, en passant par une visite de Hegel au musée, une conférence d’Emerson à Boston, une soirée de Mallarmé aux Folies-Bergère, une exposition à Paris ou New York, une mise en scène à Moscou ou la construction d’une usine à Berlin, Jacques Rancière examine une quinzaine d’événements ou de moments, célèbres ou obscurs, où l’on se demande ce qui fait l’art et ce qu’il fait.
À travers ces épisodes on voit un régime de perception et d’interprétation de l’art se constituer et se transformer en effaçant les spécificités des arts et les frontières qui les séparaient de l’expérience ordinaire. On apprend comment une statue mutilée peut devenir une œuvre parfaite, une image d’enfants pouilleux une représentation de l’idéal, une culbute de clowns l’envol dans le ciel poétique, un meuble un temple, un escalier un personnage, une salopette rapiécée un habit de prince, les circonvolutions d’un voile une cosmogonie, et un montage accéléré de gestes la réalité sensible du communisme : une histoire de la modernité artistique bien éloignée du dogme moderniste.

MEMORIA E MIGRAZIONI - MUSEO DEL MARE, GENOVA

giovedì 29 dicembre 2011

PAOLO ICARO: YOU, SPACE - CAMEC, LA SPEZIA


PAOLO ICARO
YOU, SPACE
CAMeC
via Cesare Battisti 1 - La Spezia
dal 17/12/2011 al 19/3/2012

CAMeC pianozero inaugura il suo secondo appuntamento con una mostra personale di Paolo Icaro – uno dei più interessanti e importanti protagonisti della scultura italiana contemporanea. Promosso e prodotto dall’Istituzione per i Servizi Culturali del Comune della Spezia, l’evento espositivo è un progetto di CAMeC pianozero (Francesca Cattoi, Mario Commone, Lara Conte, Matteo Lucchetti), con la collaborazione dell’Archivio Paolo Icaro curato da Lara Conte.
A partire dagli anni Sessanta la ricerca di Icaro si è posta all’attenzione internazionale imprimendo un apporto particolare al rinnovamento del linguaggio della scultura. Nel corso dei decenni l’artista ha esplorato tecniche, materiali e territori, sfuggendo a rigide e univoche classificazioni, a etichette e a dimensioni di gruppo. Seppur la sua poetica sia connotata da una continua sperimentazione, ciò che la contraddistingue è una profonda coerenza e continuità di discorso.
You, Space è il titolo che l’artista ha scelto per la mostra alla Spezia riallacciando un dialogo con lo spazio iniziato negli anni Settanta. La mostra si propone come una continua interrogazione dello spazio, inteso come corpo da misurare, da agire in senso fisico e mentale.
Per La Spezia Icaro ha concepito un’installazione che intende collegare i tre spazi del pianoterra del Museo attraverso tre diversi momenti del fare: la Linea di equilibrio, le Linee tese e I luoghi dei punti eccentrici. Sarà l’artista stesso a illustrarne i contenuti in un incontro che si svolgerà durante il corso della mostra.
Accompagna l’esposizione un catalogo con testi di Francesca Cattoi e Lara Conte, e fotografie di Michele Sereni.

REZA ASIMIAN: FALSE FEELINGS - ASSAR ART GALLERY, TEHRAN


REZA ASIMIAN
FALSE FEELINGS
Assar Art Gallery
16 Barforoushan Alley Iranshahr St., Karimkhan Zand St. 15836 Tehran
30/12/2011 - 18/1/2012

Assar Art Gallery is pleased to present False Feelings, an exhibition of new paintings by Reza Azimian.
Strongly influenced by the effects of modern communication tools on social behavior and the environment in which the artist resides, Azimian’s latest works unfolds as the continuation of his well sought after Download series which is a collection of large scale oil paintings that depict various characters and locations focusing on the artist’s personal interest in the negative psychological effects of modern interactions.
Reza Azimian’s paintings explore our changing culture and parallel effects these changes have on our identities and on our social conducts. What Azimian chooses as his subjects, he finds mainly on the internet combining them with many familiar codes and signs used by most of us daily via the virtual networks to express his ideas about the modern society. Through these paintings the artist imbues these images as if stripped off from their real characteristics, emphasizing on what he believes is a false and decietful behavioral and emotional codes that most of us today are naturally accustomed to use to define ourselves. The double identity that chartrooms, social networks and internet in general allows us to have, is a sickly phenomenon Azimian finds not only sad but unhealthy, causing us to lose sensitivity to reality and gradually changing our values in society.
False Feelings presents ten new paintings of various sizes from the Download series that have never been exposed before. In this collection Azimian tries to balance the abstract and realistic impulses on his canvases through his thickly applied oil paint and colours that very much characterizes his work.
Reza Azimian was born in 1977 in Hamedan, Iran where he still lives and works. He studies sociology, a subject that became his main focus throughout his career as a self taught painter. In recent years, his works have been exhibited widely, presented in art fairs worldwide and acquired by some important collectors both inside and outside Iran.

contacts: LE CORBUSIER / HERVE' - SEUIL 2011


CONTACTS: LE CORBUSIER / LUCIEN HERVÉ
Quentin Bajac, Béatrice Andrieux, Michel Richard, Jacques Sbriglio
Editions du Seuil, 20/10/2011
collection "Beaux livres"

Le parcours de Lucien Hervé représente un exemple remarquable, dans l’histoire de l’architecture, d’une étroite collaboration entre un photographe et un architecte. Lorsque Lucien Hervé envoie à Le Corbusier les premiers clichés de l’Unité d’habitation de Marseille qu’il réalise en 1949, ce dernier lui demande immédiatement de devenir son photographe, louant dans un premier courrier son « âme d’architecte ». En effet, le talent et l’intelligence du regard d’Hervé rencontrent la modernité et les formes nouvelles que les constructions de Le Corbusier développent. À partir de cette première rencontre, une longue collaboration naît entre les deux artistes jusqu’à la mort de l’architecte. Lucien Hervé photographie dès lors toutes les réalisations de Le Corbusier, en véritable mémorialiste de son œuvre architecturale. Une procédure de travail est très vite mise en place par Hervé : après avoir effectué les prises de vue d’un bâtiment, il colle sur des cartons colorés son choix de contacts découpés et numérotés qu’il prépare en deux exemplaires. Un jeu est destiné à l’architecte, l’autre à ses propres archives. Plus de 1 200 planches sont actuellement conservées à la fondation Le Corbusier. Cet ouvrage en réunit pour la première fois près de 200.

MICHEL FOUCAULT: COURS SUR LA VOLONTE' DE SAVOIR - SEUIL, 2011


MICHEL FOUCAULT
LEÇONS SUR LA VOLONTÉ DE SAVOIR
Editions du Seuil, 10/2/2011
collection "Hautes études"

Voici la transcription de la première année des cours de Michel Foucault au Collège de France. Sa publication marquera une date dans la « réception » de Foucault. On ne pourra plus le lire comme avant.
On y découvrira la profonde unité du projet qui va de Surveiller et Punir ( 1975), dominé par les thèmes du pouvoir et de la norme, à L’Usage des plaisirs et Le Souci de soi (1984), consacrés à l’éthique de la subjectivité.
Ces Leçons sur la volonté de savoir rappellent que le travail de Michel Foucault n’a jamais eu qu’un objet : la vérité. Surveiller et Punir achève une enquête sur le rôle des formes juridiques dans la constitution du dire vrai, dont on découvre ici les premiers jalons. La vérité naît dans des conflits, la concurrence des prétentions qui trouvent dans les rituels du jugement judiciaire la possibilité de départager qui a raison et qui a tort.
Au sein même de la Grèce antique se succèdent et s’affrontent différentes formes juridiques, différentes manières de partager le vrai et le faux, où viendront bientôt s’inscrire les querelles des sophistes et des philosophes. Sophocle, dans Œdipe roi, met en scène la puissance propre des formes du dire vrai : elles instituent le pouvoir comme elles le destituent. Contre Freud, qui fera d’ Œdipe le drame d’un inavouable désir sexuel, Michel Foucault montre que la tragédie articule les rapports de la vérité, du pouvoir et du droit. L’histoire de la vérité est celle de la tragédie.
Au-delà de l’irénisme d’Aristote qui plaçait la volonté de savoir dans le désir de connaissance, Michel Foucault approfondit la vision tragique de la vérité inaugurée par Nietzsche, qu’il arrache dans un dialogue souterrain avec Deleuze à la lecture heideggerienne.
Qui osera parler, après ce cours, d’un Foucault sceptique ?

SP10: TRIPOD - OFFICINANOVE


SP10
TRIPOD
Officinanove, 2011

Tripod è il nuovo appendiabiti disegnato per Officinanove dallo studio di architetti genovesi Studio Sp10.
Nell'accessorio si incontrano legno e metallo: le aste sono realizzate in faggio a finitura naturale, mentre lo snodo centrale è composto da tubi metallici, disponibili in 190 colori.
Tripod può essere disposto sul pavimento indifferentemente su entrambe le estremità, in modo da variarne l'impatto visivo a seconda del proprio gusto personale e del luogo in cui viene collocato.

mercoledì 28 dicembre 2011

TRISHA BROWN - SIKKEMA JENKINS & CO., NEW YORK


TRISHA BROWN
Sikkema Jenkins & Co.
530 West 22nd Street - New York
9/12/2011 - 25/1/2012

Sikkema Jenkins & Co. is pleased to present an exhibition of drawings by the acclaimed dancer and choreographer Trisha Brown on view from December 9, 2011 through January 25, 2012.
For her second solo exhibition at Sikkema Jenkins & Co., the gallery will present a selection of large-scale drawings from Brown’s It’s a Draw dance/drawing series. It’s a Draw, performed between 2002 and 2008, collapses the division between a dance performance and a work on paper by literally drawing through dance, tracing Brown’s movements with charcoal or pastel stuck between her hands and feet.
Best known for her career as a postmodern dancer and choreographer, Brown’s drawings archive the normally ephemeral movements of dance. Twisting, turning, gliding, stretching, rolling, lying down or standing up, Brown performs with her full body on large sheets of paper placed on the floor. From the floor to the wall, the movements, a visual language of dance steps, are recorded. While dance emphasizes the fleeting and the momentary, the drawings demonstrate that dance can be preserved through artistic means other than photography or video.
Playing with the language of Abstract Expressionism, the It’s a Draw series uses the concepts of action painting and all-over-ness literally as Brown performs on the paper. Rather than static marks, the lines made from her movements capture that same sense of continuous motion as her dance performances. Suggesting Brown’s ghostly presence, the drawings compel the viewer to attempt to reconstruct her dance.
Born in Aberdeen, Washington in 1936, Trisha Brown received a B.A. in dance form Mills College in 1958 and later received a D.F.A. from Bates College in 2000. After moving to New York in 1961, Brown became a founding member of the Judson Dance Theater where she worked with other vanguard experimental dancers. In 1970 she co-founded the dance collective Grand Union and formed the Trisha Brown Dance Company. Striving to create at the crossroads between visual art, performance and dance, Brown has conceived of pieces for alternative sites, most notably the rooftops and façades of Soho buildings.
Throughout her long career, Brown has combined the visual arts with her performances. She has collaborated with artists, such as Robert Rauschenberg, on set and costume designs. In addition, she has been producing her own visual art uniting the art of dance and the visual arts. Since the beginning of her career in the 1970s, drawing has been integral to Brown's artistic process. Beginning with diagramming her choreography through drawing, Brown has consistently used movement to generate graphic works.
Brown has received numerous awards over the course of her career. In 1991, she became the first woman choreographer to receive the MacArthur Foundation Fellowship and she was presented the National Medal of Arts in 2003. Brown was also named Chevalier dans l’Ordre des Arts et des Lettres by the government of France in 1988; was elevated to Officier in 2000; and then to Commandeur in 2004, the highest level awarded. Recently, she won the 2011 Dorothy and Lillian Gish Prize and the New York Dance and Performance (“Bessie”) Lifetime Achievement Award.
Trisha Brown’s visual art works have previously been exhibited at the Museum of Modern Art, New York (2011), the Whitney Museum of American Art, New York (2010), the Walker Art Center in Minneapolis (2008), Documenta 12, Kassel, Germany (2007), and The Drawing Center, New York (1998).

ARCHIVIO OFFLINE - CASA CANONICA, LAGO


ARCHIVIO OFFLINE
a cura di Viviana Carlet e Carlo Migotto con la collaborazione di Giulia Marin
Casa Canonica
via Santa Maria, 12 – Lago
dal 29/12/2011 al 8/1/2012

Si inaugura giovedì 29 dicembre alle ore 18:00 presso la nuovissima Casa Canonica Villa Veneta di Lago la mostra ARCHIVIO OFFLINE del Lago Film Fest, l'evento cinematografico che da 7 anni porta nel borgo in pietra di Revine Lago il meglio della cinematografia indipendente mondiale.

Visitabile tutti i giorni a ingresso libero fino all'8 gennaio alla Casa Canonica di Lago, l'esposizione curata da Viviana Carlet e Carlo Migotto con la collaborazione di Giulia Marin e il patrocinio del Comune di Revine Lago offre al pubblico di curiosi, appassionati e fan del Lago Film Fest la chance di (ri)vedere più di 5.000 corti archiviati dal 2005 ad oggi e alcune tra le più belle opere d'arte realizzate dagli artisti ospiti del Festival. Nelle sale dei tre piani della Casa in occasione dell’inaugurazione verranno infatti allestiti
- i risultati del contest Diciottoocchi dell'edizione 2010 e 2011 del Festival
- le sculture realizzate dall'Atelier FraSe con gli studenti di architettura per il progetto Through the looking glass nel luglio 2011
- i progetti sviluppati per Open Space (progetti site specific in relazione con lo spazio e le persone che vivevano il festival): le interazioni sonore di Alice Lorenzon, l'esperienza dell'artista rumena Daniela Palimariu, l'installazione video di Alessandro Perini, la danza contemporanea di Rebecca D'Andrea.
- Il quadro “The shortest love story ever” firmato da uno dei “golden duo” dell'arte contemporanea, gli artisti italiani Blue&Joy. È notizia di questi giorni che il neon The End, creato appositamente da Blu&Joy nel luglio 2011 per il Lago Film Fest, verrà esposto a gennaio ad Arte Fiera di Bologna.

Nel corso della serata-evento di inaugurazione che sarà condotta da Viviana Carlet e da Emiliano Bernardi, verranno presentati i sette lunghi anni di attività del Festival durante i quali è stato raccolto un patrimonio di oltre 5.000 film da ben 86 paesi del mondo: patrimonio che trova nella Casa la sua stabile collocazione, come luogo simbolico di archiviazione ma anche come spazio di ricerca, in continua crescita ed espansione .

Il Lago Film Fest è nato nel 2005 a Revine Lago. Da allora è diretto da Viviana Carlet in collaborazione con la Pro Loco di Revine Lago. L'edizione 2012 del Festival si svolgerà dal 20 al 28 luglio.

ANTONELLA RUSSO: STORIA CULTURALE DELLA FOTOGRAFIA ITALIANA - EINAUDI, 2011


ANTONELLA RUSSO
STORIA CULTURALE DELLA FOTOGRAFIA ITALIANA
Einaudi, 15/11/2011
collana "Piccola biblioteca Einaudi. Big"

Nel superare la convenzionale narrazione lineare tipica dei manuali di storia della fotografia, l'autrice esplora sulla base di minuziose ricerche d¿archivio e della diretta testimonianza dei protagonisti temi poco dibattuti, quali l'associazionismo fotografico, il collezionismo, il paparazzismo, la fotografia umanitaria, la metodologia della ricerca storica, avanzando ipotesi sulle cause del clamoroso ritardo nell'affermazione della cultura fotografica nel nostro paese, intesa come formazione e diffusione di forme e significati socialmente condivisi.
Per la profondità e la completezza delle analisi, come per l'accurata documentazione, il volume, corredato da 180 immagini in bianco e nero e a colori, molte delle quali inedite, si propone come indispensabile testo di riferimento per chiunque studi, collezioni o si interessi di fotografia e storia della cultura visuale.

SCIENZE E CULTURA DELL'ITALIA UNITA - STORIA D'ITALIA, ANNALI 26 - EINAUDI, 2011


Storia d'Italia. Annali 26
SCIENZE E CULTURA DELL'ITALIA UNITA
Einaudi, 18/10/2011

La ricerca, la scienza e il progresso incontrano cultura, società e politica dell'Italia unita: un secolo e mezzo di storia per un'indagine ad ampio spettro dei caratteri peculiari del sapere scientifico e tecnologico del nostro paese.
Un progetto «quasi temerario» - come scrivono gli stessi curatori nell'introduzione all'Annale - che raccoglie e racconta, in quaranta saggi d'eccezione, la realtà multiforme dell'impresa scientifica italiana, attraverso tre diverse traiettore d'osservazione: la periodizzazione storica, le implicazioni di lungo periodo e la situazione della «nuova Italia».
In una prima parte, l'Annale suddivide la storia post-unitaria in tre periodi principali, affrontando per ciascuna fase gli argomenti più significativi e ricchi di implicazioni. A partire dall'età liberale - con la costruzione del sistema scolastico e universitario e la fondazione della Società italiana per il progresso delle scienze - si approda al ventennio fascista - con il mito della scienza nazionale, la nascita del CNR, la ricerca tra eugenetica e razzismo -, per concludere con l'età repubblicana - la divulgazione e l'inizio della «rivoluzione delle macchine».
La seconda parte del volume è dedicata all'indagine dell'evoluzione delle discipline scientifiche su un orizzonte di ampio respiro, dal processo di costruzione teorica di una «materia» alle interazioni con la sfera pubblica, fino alle comparazioni e alla diffusione internazionale.
L'Annale si conclude con l'analisi del «tempo ormai lungo della nuova Italia» attraverso il vettore «interno-esterno»: dai flussi migratori degli scienziati alle correnti che hanno permesso il diffondersi del sapere in Italia, fino a un repertorio biografico sulle donne di scienza.

Il volume, affidato alla cura di Francesco Cassata - storico del pensiero politico e delle culture scientifiche e autore, per Einaudi, de «La difesa della razza». Politica, ideologie e immagine del razzismo fascista - e Claudio Pogliano - a lungo ricercatore presso la Normale di Pisa e oggi consigliere dell'Istituto e Museo di Storia della Scienza di Firenze - è corredato da una sezione iconografica e da un'originale visualizzazione commentata dei monumenti agli scienziati e alla scienza della tradizione artistica italiana.

GIORGIO LEVI: ZAPPING - ARTRE', GENOVA


GIORGIO LEVI
ZAPPING
a cura di Miriam Cristaldi
Galleria Artré
piazza delle Vigne - Genova
dal 7/12/2011 all'1/2/2012

Oggi, nel frastuono dei rumori, in un mondo in rapida globalizzazione ? incapsulato da straordinarie tecnologie fino a poco tempo fa inimmaginabili ? in cui mancano indicatori stabili e dove la realtà è volentieri eterogenea, volatile e mutevolissima, si assiste alla presenza di una cultura “ibridata” (comporre, scomporre e ricomporre nuove realtà affrancandosi dalla tradizione) che si dirige verso ricerche d’identità “costantemente strattonate in direzioni antitetiche… costringendoci… a procedere tra forze contrapposte” oscillando ossessivamente “…tra i poli dell’individualità senza compromessi e dell’appartenenza totale... allo stato societario (Zygmunt Bauman).
La prima condizione resta irraggiungibile, la seconda offre l’occasione di essere facilmente risucchiati da qualsiasi cosa passi vicino.
Per sostenere la propria originalità in questo pianeta (dove sovente le gioie dei consumi si alternano agli orrori dei rifiuti), occorre un incessante sforzo titanico per sopperire a conflittuali bisogni di libertà e a istintive necessità di sicurezze; allo stesso tempo si è costretti a tenere costantemente d’occhio possibilità e opzioni rigeneranti di qualsiasi tipo e qualità strategica. Dalla culla alla bara.
Un po’ come l’uomo in bicicletta che per stare in equilibrio deve eternamente pedalare, pena la caduta.

In tale contesto nasce il lavoro pittorico dell'artista-medico Giorgio Levi, che ad uno sguardo fenomenico (e amoroso) del reale microscopico-naturale (sovente riferibile alla cellula e ai suoi sottoinsiemi) sa coniugare una visione camaleontica ad ampio spettro capace di shakerare capacità tecniche le più eterogenee possibili, sia che esse appartengano alla tradizione pittorica (per elaborarne il lutto) che alla complessità del fare contemporaneo dando corpo ad un’ironica, ibridata, pungente espressività.
Il progetto dell'artista? Testimoniare la fragrante fisicità del reale colta nel feroce risucchio di vorticosi e folli eventi, un mondo sull'orlo del collasso tradotto in pittura da sconquassi cromo-materici capaci di agglutinare o parcellizzare lacerti fisiologici che si aggregano, impazziti e in modo dismogeneo in spazialità multiple additando, attraverso filtri immaginativi, mortali pericoli e fascinose chimere, umbratili dolori e vistose delizie. La superficie pittorica sembra creparsi per lasciar fluire energetici flussi sotterranei.
Prendono così forma dinamici frammenti d'energia destinati a riprodursi in grumose e ossessive clonazioni o a sprofondare nei gorghi dei vuoti.
Disorientamento e controllo sono gli assi estetici sui quali cresce l'operato dell'artista: contrapposizioni in continua oscillazione tra l'essere e il non essere (titolo di un dipinto del 2010), che ...possono sintetizzare una buona parte della mia espressione pittorica, dove dal subconscio sembra affiorare l'ansia per un presente e un futuro che ci appaiono del tutto incerti..., precisa Levi in uno scritto.
Processualmente, sul piano esecutivo, reggono esperienze accidentali di tipo bipolare: da un lato si germinano capacità riproduttive con annesse fantasiose creatività, azioni clonanti, metamorfosi spinte, eccitazioni cromatiche; dall’altro, freni, blocchi, impedimenti, sbarrano slanci vitali trascinando sul campo allungate ombre mortifere.
Sull'altare dell'esistenza vita e morte si scambiano continuamente i ruoli: quando le forme corrono libere sulla superficie pittorica s’installano meccanismi automatici d'accerchiamento che le strozza; dove il colore accende carnalità materiche altrove, il nero e colori acidi, combustioni e cancellazioni, tramano il loro agire distruttivo; o ancora, quando agglomerati pittorico-metamorfici brulicano in una sorta di caos quantico” (trapassato da esplosioni gioiose sciolte in sfarfallii floreali), altre spazialità affondano nell'abisso per fornire alla percezione incontrollate vertigini che attirano la materia in ansiogeni e calamitici “buchi neri”;
Qui, Giorgio Levi non solo si affida a dinamismi di masse, a linee ritmiche concentriche capaci di creare evoluzioni articolate, ma ricerca azioni ed eventi simultanei per tradurre immagini astratte di forte impatto visivo, di suadente musicalità pittorica mediante naturalità di gesti e fluidità d'intenti atti a favorire scambi d'intime emozioni tra autore e fruitore.
Allo stesso tempo si sofferma con spirito critico-scientifico sulla complessità di strutture micro-molecolari così da creare masse organiche simili alla liquidità di vie lattee punteggiate da infiniti corpi celesti sovente concatenantesi in oppressivi horror vacui.
Ciò, dovuto a un fortissimo pullulare di forme biologiche (e non) collegate tra loro da interscambi, intersezioni, oppure avulse e arroccate in bozzoli cromatici di forte pregnanza, idonei a svelarne la quintessenza.

OMAGGIO A GRAZIELLA LEONARDI BUONTEMPO - PAN, NAPOLI


OMAGGIO A GRAZIELLA LEONARDI BUONTEMPO
a cura degli Incontri Internazionali d'Arte
comitato scientifico: Cecilia Casorati, Daniela Lancioni, Patrizia Pistagnesi
Palazzo delle arti di Napoli - PAN via dei Mille, 60 - Napoli
dal 17/12/2011 al 16/1/2012

Il Comune di Napoli e gli Incontri Internazionali d’Arte propongono un omaggio a Graziella Lonardi Buontempo a un anno dalla sua scomparsa. Eccezionale e assai nota figura dell’arte contemporanea italiana e internazionale, Graziella Lonardi Buontempo nacque a Napoli e si trasferì a Roma alla fine degli anni sessanta. Nel 1970 fondò a Capri l’Associazione Amici di Capri, promotrice, tra le altre iniziative, del Premio letterario Malaparte.
Nello stesso anno avviò a Roma gli Incontri Internazionali d’Arte, l’associazione no-profit con la quale promosse mostre ed altre memorabili iniziative in Italia e all’estero. L’omaggio si articolerà in diversi momenti. Un focus sarà dedicato all’attività degli Amici di Capri. L’attività degli Incontri Internazionali d’Arte, un’impresa alla quale Graziella Lonardi Buontempo si dedicò sino al momento della sua scomparsa e che può essere identificata con la sua stessa vita – attualmente condotta dalle nipote Gabriella Buontempo che ha promosso l’iniziativa – sarà testimoniata nella sua interezza attraverso il materiale d’archivio. L’impegno a favore dei giovani sarà testimoniato da alcune opere recenti realizzate grazie al supporto degli Incontri Internazionali d’Arte, mentre quello verso il cinema verrà mostrato, oltre che attraverso la documentazione, attraverso la proiezione di un’opera esemplare. Un particolare rilievo verrà dato alla collezione di fotografie di Massimo Piersanti, che per anni è stato il maggior testimone visivo dell’attività degli Incontri e del quale verrà mostrata una selezione di circa cento scatti.
L’atelier italiano alla Cité Internationale des Arts di Parigi. Il sostegno e la promozione dei giovani artisti – con particolare attenzione al panorama nazionale – è stato sin dall’inizio uno dei punti centrali dell’attività degli Incontri. Oltre alle numerose mostre, l’attenzione di Graziella Lonardi Buontempo alle ricerche dei più giovani è testimoniata dalle residenze presso la Cité des Arts di Parigi che gli Incontri Internazionali d’arte bandiscono dal 2003. In mostra verranno esposte opere realizzate durante il soggiorno a Parigi da Gea Casolaro, Mariana Ferratto, Igor Muroni, Luana Perilli e Donatella Spaziani.
L’Archivio. Verrà esposto un cospicuo numero di documenti: inviti, comunicati stampa, cataloghi, foto, manifesti, lettere, tutto materiale proveniente dall’Archivio degli Incontri Internazionali d’Arte, attraverso il quale sarà possibile ripercorrere le principali tappe dell’attività dell’Associazione. Tra le altre, le grandi mostre Vitalità del negativo nell’arte italiana 1960/70 e Contemporanea realizzate a Roma a cura di Achille Bonito Oliva, Identitè italienne al Centre Pompidou di Parigi a cura di Germano Celant, il ciclo di mostre Artedomani a Spoleto coordinato da Pieranna Cavalchini, e le esposizioni monografiche che si sono tenute nel Salone dei Camuccini al Museo di Capodimonte a cura di Bruno Corà, oltre all’attività svolta nella sede di Palazzo Taverna a Roma. Sarà inoltre mostrato materiale filmico, comprendente le riprese e i documentari storici e le più recenti interviste alla protagonista.
Il Cinema. Un altro aspetto importante dell’attività degli Incontri Internazionali d’arte è rappresentato dalla promozione del cinema italiano soprattutto in relazione al contesto internazionale, che si concretizzò negli anni con le rassegne sul cinema muto e gli anni trenta, sulla commedia italiana, sulla vita e l’opera di un’artista ante litteram come Anna Magnani, sul cinema napoletano. Tutto ebbe inizio nella seconda metà degli anni ’70 con una rassegna ‘storica’, Kinomata, cento anni di cinema italiano al femminile, cui fece seguito un’altra iniziativa di ricerca e di approfondimento: Cinema e psicoanalisi.
In occasione della mostra viene pubblicato un catalogo a cura di Daniela Lancioni e Cecilia Casorati con testi di Achille Bonito Oliva, Giuliana Gargiulo, Cecilia Casorati, Patrizia Pistagnesi, Ausilia Veneruso, Riccardo Esposito e Daniela Lancioni.

ANA MENDIETA - THE ART INSTITUTE OF CHICAGO

ANA MENDIETA
The Art Institute of Chicago
111 South Michigan Avenue - Chicago
july 20, 2011 – january 15, 2012

Emerging in the early 1970s amid burgeoning new genres of art making including land art, performance art, film and video, and feminist practices, Cuban-American artist Ana Mendieta developed a deeply personal, experimental, and largely ephemeral oeuvre consisting chiefly of performative actions that she described as “earth-body sculptures.” Highlighted in this presentation are important works by Mendieta that have been generously promised to the Art Institute by Diane and Bruce Halle, forming the basis for the single largest institutional collection of the artist’s work.
Born in Cuba, Mendieta came to the United States as a refugee in 1961 at the age of 12. The trauma of separation from her family, culture, and homeland became the bedrock of the artist’s practice, which was rooted in physical and spiritual connections between the body and the natural world. She wrote, “I have thrown myself into the very elements that produced me. It is through my sculptures that I assert my emotional ties to the earth and conceptualize culture.” The Silueta series—hundreds of earth-body works and related photographs and films—constitutes the core of Mendieta’s project. Based initially on her own body and silhouette, the Siluetas developed into a panoply of archetypal goddess figures and eventually more universal human forms and incorporated a unique blend of ritual effects drawn from diverse religions. An intensely productive period of travel to Cuba, where Mendieta felt her practice was reconnected with its origins, prompted drawings, etchings, and sculptures, in which, for the first time, her iconic goddess forms became permanent individual objects.
Representing each of the most significant moments in the artist’s brief yet prolific career—tragically cut short by a fatal fall from a high-rise apartment window in 1985—this group of works reflects Mendieta’s singular contribution to contemporary practice.

DAVID TOOP: SINISTER RESONANCE - CONTINUUM, 2011


DAVID TOOP
SINISTER RESONANCE
The Mediumship of the Listener
Continuum, 22/12/2011

Sinister Resonance begins with the premise that sound is a haunting, a ghost, a presence whose location is ambiguous and whose existence is transitory. The intangibility of sound is uncanny – a phenomenal presence in the head, at its point of source and all around. The close listener is like a medium who draws out substance from that which is not entirely there.
The history of listening must be constructed from the narratives of myth and fiction, ‘silent’ arts such as painting, the resonance of architecture, auditory artefacts and nature. In such contexts, sound often functions as a metaphor for mystical revelation, forbidden desires, formlessness, the unknown, and the unconscious. As if reading a map of hitherto unexplored territory, Sinister Resonance deciphers sounds and silences buried within the ghostly horrors of Arthur Machen, Shirley Jackson, Charles Dickens, M.R. James and Edgar Allen Poe, Dutch genre painting from Rembrandt to Vermeer, artists as diverse as Francis Bacon and Juan Munoz, and the writing of many modernist authors including Virginia Woolf, Samuel Beckett, and James Joyce.

EDGAR LANDGRAF: IMPROVISATION AS ART - CONTINUUM, 2011


EDGAR LANDGRAF
IMPROVISATION AS ART
Conceptual Challenges, Historical Perspectives
Continuum, 21/7/2011
Series: New Directions in German Studies

Improvisation as Art traces how modernity’s emphasis on inventiveness has changed the meaning of improvisation; and how the ideals and laws that led improvisation to be banned from “high art” in the eighteenth century simultaneously enabled the inventive reintegration of improvisation into modernism.
After an in-depth exploration of contemporary theoretical contentions surrounding improvisation, Landgraf examines how the new emphasis on inventiveness affects the understanding of improvisation in the emerging aesthetic and anthropological discourses of the late 18th and early 19th centuries. He first focuses on accounts of improvisational performances by Moritz, Goethe, and Fernow and reads them alongside the aesthetics of autonomy as it develops at the same time. In its second half, the book investigates how the problem of “planning” art receives a different treatment in German Romanticism. The final chapter focuses on the writings of Heinrich von Kleist where improvisation presents a central aesthetic principle. Kleist’s figurations of improvisation recognize the anthropological predicament of the self in modern society and the social constraints that invite and often force individuals to improvise.

PRODUCT HUMAN: TVRTKO BURIC – LEONARD SHERIFI - SALA DOGANA, GENOVA


PRODUCT HUMAN
TVRTKO BURIC – LEONARD SHERIFI
a cura di Stella Seitun
Spazio Dogana - Palazzo Ducale
piazza Matteotti 13 - Genova
dal 28 dicembre 2011 all’8 gennaio 2012

Una scomoda realtà.
Il lavoro di due artisti di nazionalità e esperienze diverse, Tvrtko Buric (Zagabria, Croazia 1982) e Leonard Sherifi (Berat, Albania 1984), mette in discussione le strategie di produzione e comunicazione globale riflettendo sui valori dell’individualità, dell’identità, dell’unicità. Opere pittoriche tra pratica tradizionale e applicazione tecnologica.

lunedì 26 dicembre 2011

VLATKA HORVAT: BESIDE ITSELF - ZAK | BRANICKA GALLERY, BERLIN


VLATKA HORVAT
BESIDE ITSELF
Zak | Branicka Gallery
Lindenstr. 35 - Berlin
18/11/2011 - 21/1/2012

We are delighted to Vlatka Horvat’s solo exhibtition, entitled Beside Itself , ŻAK | BRANICKA Gallery.
Investigating the politics and poetics of spatial arrangement, order and organization, interpersonal and social relations, Vlatka Horvat’s practice explores the characteristics of interaction between the body, the built environment and the objects that inhabit it. In her collages, photographs and installations, Horvat often places the body in awkward, puzzling and uncanny positions, situating it on the horizon of objecthood – a move which questions the stability of categories and structures through which social and political meaning is made. Whilst the body in Horvat’s work is repeatedly depicted as disjointed and discombobulated, situated between functional and dysfunctional, between subject and object, the space in which it performs its often absurdist and Dadaist operations is itself ‘out of joint’.
Horvat approaches built space and time as series of elements, which can be re-arranged and reconstituted, as though the true nature of both might only become intelligible through the process of unraveling them. In these procedures – which include cutting and severing objects, merging them with other dismantled objects, or intervening in built spaces by emulating elements of architecture using cheap disposable materials such as sponge, cardboard and rubber bands – the space, the objects and bodies it contains (and which produce or contain it), all converge into a puzzling and uncanny field of new special and temporal becomings.
Horvat’s practice is embedded in ludic and often humorous investigations and inversions of the realms of the visible and the hidden, while at the same time pointing to the need to enter into new configurations of (individual, communal) potentiality – past, present and future. The latter especially comes to the fore in a new series of 30 collages, titled With the Sky on Their Shoulders, in which the artist reaches for what lies beneath the surface of her family photographs from the 1960s and 1970s, made in Socialist Yugoslavia, at the time when the idea of solidarity, belief in the future and progress were still at their pinnacle. Horvat’s mode of ‘entering’ these images – all featuring her parents as young adults – through a set of sophisticated (though nonetheless aggressive) formal gestures, suggests an almost infantile attempt of evicting the intergenerational transfer of the sense of loss and disillusionment. Scissoring between the figures or inverting the figures’ inside out in order to penetrate and expose what is beneath the image of the collective optimism is undertaken only to encounter the void, the blank spot of frozen time emerging as a distant sign of the coming fall. Similarly, in the series Up in Arms – for which Horvat uses the same historical photographs as her source material, flipping them this time so as to make their back side the front – the only elements that continue to linger in the liminal space between the surfaces (filled with the tension between the 2- and 3-dimensionality) are the disembodied arms lost somewhere along the complicated journey of temporal parts.
Throughout Horvat’s efforts, that which seem to be predetermined and ‘given’ becomes estranged as she navigates around the borders, edges and the shifting dynamics at work in space and time. The artist’s interventions enacted upon the body, images, space and objects register a sense of repair, survival and recovery in the face of decay, entropy and change, placing at the centre of her inquiry a certain permeability of the physical world, of memory and subjectivity. By operating on the borderline, the artist enters a play of detecting (un)important deviations and (un)intentionally discloses the arbitrariness of categories such as inside and outside, right and wrong (place), past and future, front and back, before and after.

BALLA / AMBRON - RACCOLTA LERCARO, BOLOGNA


BALLA / AMBRON
Gli anni Venti fra Roma e Cotorniano
Raccolta Lercaro
Via Riva di Reno 55 - Bologna
dal 16/12/2011 al 18/3/2012

La mostra Balla / Ambron. Gli anni Venti tra Roma e Cotorniano, a cura di Andrea Dall’Asta S.I., Filippo Bacci di Capaci ed Elena Gigli, racconta la storia di un’amicizia tra la famiglia di Giacomo Balla (1871-1958) e quella di Emilio Ambron (1905-1996). Balla, protagonista della prima stagione futurista, conosce Amelia Almagià Ambron (1877-post 1937), madre di Emilio, negli anni successivi alla Prima guerra mondiale. A partire da quel momento ha inizio un rapporto che condurrà l'artista a soggiornare più volte nella tenuta degli Ambron a Cotorniano, nella campagna senese e, dal 1926 al 1929, a trovare ospitalità insieme alla propria famiglia a Villa Ambron ai Parioli (Roma). Le numerose cartoline e lettere inviate dall’artista, dalla moglie Elisa e dalle figlie Luce ed Elica - datate tra il 1919 e la metà degli anni Cinquanta e studiate ora da Elena Gigli - documentano l’intenso legame intercorso tra le due famiglie. Durante gli anni Venti, infatti, la residenza di Cotorniano diventa un fervente cenacolo culturale. Amelia, allieva di Antonio Mancini (1852-1930), pittore romano di ambito verista, è il punto di riferimento di una viva fucina di idee a cui partecipano i tre figli - Emilio, Nora e Gilda - e numerosi artisti tra i quali, oltre a Mancini e a Balla, anche Giovanni Colacicchi (1900-1992) e Mario Tozzi (1895-1979).
L'esposizione si apre con il Ritratto di Giacomo Balla realizzato da Emilio Ambron.
Prosegue con la sezione dedicata al grande artista, che comprende uno straordinario nucleo di lettere e cartoline, quest'ultime realizzate per lo più ad acquarelli, tempere, chine e pastelli su carta e cartoncino: splendido esempio - diremmo oggi – di mail art, giunte alla Raccolta Lercaro grazie alla donazione già disposta in vita da parte di Emilio e perfezionata nel 1997, dopo la sua morte, dalla moglie Carla.
Si tratta di vere e proprie opere di piccole dimensioni che accolgono veloci e divertenti messaggi scritti con grafia futurista, «parolibere» oscillanti tra poesia spontanea e brevi comunicazioni.
Accanto a questi materiali sono presentate altre opere del grande pittore, sempre appartenenti alla Raccolta Lercaro: un ritratto a tecnica mista di Gilda, due scorci a olio della campagna toscana e quattro disegni raffiguranti paesaggi, a testimonianza di quel ritorno alla figurazione che, dalla fine degli anni Venti, lo porta alla creazione di immagini legate ad affetti.
La mostra continua con un nucleo di opere di Emilio Ambron, uno tra i più interessanti artisti eredi dell'Orientalismo nel XX secolo, studiate da Filippo Bacci di Capaci.
Viaggiatore inquieto tra Europa, Africa e Asia, nel Secondo dopoguerra si fa portavoce del ritorno alla classicità e alla figura, soprattutto femminile.
Documentano la sua attività artistica una serie di dipinti, carboncini e sculture, che si collocano tra gli anni Venti e Trenta del Novecento.
Accanto alle opere di Emilio sono presenti anche lavori di Amelia, interessanti per comprendere il clima culturale dell’epoca tra le due guerre.
Tra gli artisti amici della famiglia sono documentati Mario Tozzi, che figura con due oli degli anni Quaranta, e Giovanni Colacicchi, del quale ricordiamo il Ritratto di Carla Ambron.
Nell'esposizione è infine presente il Ritratto di Umberto Boccioni, realizzato nel 1910 da Aroldo Bonzagni (1887-1918), giovane artista che segue i primi passi del movimento futurista. Pur non rientrando nella Donazione Ambron, ben si colloca, infatti, nel clima culturale che vede la nascita di questa avanguardia.

HANS-GEORG MOELLER - THE RADICAL LUHMANN


HANS-GEORG MOELLER
THE RADICAL LUHMANN
Columbia University Press
november 2011

Niklas Luhmann (1927-1998) was a German sociologist and system theorist who wrote on law, economics, politics, art, religion, ecology, mass media, and love. Luhmann advocated a radical constructivism and antihumanism, or "grand theory," to explain society within a universal theoretical framework. Nevertheless, despite being an iconoclast, Luhmann is viewed as a political conservative. Hans-Georg Moeller challenges this legacy, repositioning Luhmann as an explosive thinker critical of Western humanism.
Moeller focuses on Luhmann's shift from philosophy to theory, which introduced new perspectives on the contemporary world. For centuries, the task of philosophy meant transforming contingency into necessity, in the sense that philosophy enabled an understanding of the necessity of everything that appeared contingent. Luhmann pursued the opposite—the transformation of necessity into contingency. Boldly breaking with the heritage of Western thought, Luhmann denied the central role of humans in social theory, particularly the possibility of autonomous agency. In this way, after Copernicus's cosmological, Darwin's biological, and Freud's psychological deconstructions of anthropocentrism, he added a sociological "fourth insult" to human vanity.
A theoretical shift toward complex system-environment relations helped Luhmann "accidentally" solve one of Western philosophy's primary problems: mind-body dualism. By pulling communication into the mix, Luhmann rendered the Platonic dualist heritage obsolete. Moeller's clarity opens such formulations to general understanding and directly relates Luhmannian theory to contemporary social issues. He also captures for the first time a Luhmannian attitude toward society and life, defined through the cultivation of modesty, irony, and equanimity.

Hans-Georg Moeller is a senior lecturer in the Philosophy Department at University College Cork in Cork, Ireland. Author and editor of ten books, his works include The Philosophy of the Daodejing, The Moral Fool: A Case for Amorality, both Choice outstanding academic titles, and Luhmann Explained.

GEHRARD RICHTER: AFTERNESS


GEHRARD RICHTER
AFTERNESS
Figures of Following in Modern Thought and Aesthetics
Columbia University Press
october 2011

Gerhard Richter’s groundbreaking study argues that the concept of “afterness” is a key figure in the thought and aesthetics of modernity. It pursues questions such as: What does it mean for something to “follow” something else? Does that which follows mark a clear break with what came before it, or does it in fact tacitly perpetuate its predecessor as a consequence of its inevitable indebtedness to the terms and conditions of that from which it claims to have departed? Indeed, is not the very act of breaking with, and then following upon, a way of retroactively constructing and fortifying that from which the break that set the movement of following into motion had occurred?
The book explores the concept and movement of afterness as a privileged yet uncanny category through close readings of writers such as Kant, Kafka, Heidegger, Bloch, Benjamin, Brecht, Adorno, Arendt, Lyotard, and Derrida. It shows how the vexed concepts of afterness, following, and coming after shed new light on a constellation of modern preoccupations, including personal and cultural memory, translation, photography, hope, and the historical and conceptual specificity of what has been termed “after Auschwitz.” The study’s various analyses—across a heterogeneous collection of modern writers and thinkers, diverse historical moments of articulation, and a range of media—conspire to illuminate Lyotard’s apodictic statement that “after philosophy comes philosophy. But it has been altered by the ‘after.’” As Richter’s intricate study demonstrates, much hinges on our interpretation of the “after.” After all, our most fundamental assumptions concerning modern aesthetic representation, conceptual discourse, community, subjectivity, and politics are at stake.

Gerhard Richter is professor of German studies and comparative literature and chair of the Department of German Studies at Brown University. He is the author of Thought-Images: Frankfurt School Writers’ Reflections from Damaged Life; Ästhetik des Ereignisses: Sprache—Geschichte—Medium; and Walter Benjamin and the Corpus of Autobiography. He is also the editor of five additional books in the area of European critical thought, including Language Without Soil: Adorno and Late Philosophical Modernity.

TONINO CONTE: TAROCCHI IN GIOCO - TEATRO DELLA TOSSE, GENOVA


TONINO CONTE
TAROCCHI IN GIOCO
Foyer del Teatro della Tosse
piazza Renato Negri - Genova
dal 22 al 31 dicembre 2011

Giovedì 22 dicembre si è inaugurata, nel foyer del Teatro della Tosse, la mostra Tarocchi in gioco di Tonino Conte, che rilegge i 22 arcani attraverso una serie di originali collage. Da sempre il gioco delle carte e i tarocchi sono uno stimolo per la fantasia di Tonino Conte, prima come autore e regista e poi nella nuova veste di creatore di collage. Come regista ha diretto lo storico il Castello di carte ovvero Il mistero dei Tarocchi scritto insieme a Gian Piero Alloisio con le scenografie e le carte disegnate da Emanuele Luzzati. Lo spettacolo, uno dei suoi grandi successi è alla base di Tarocchi Bazar, giocando al mercante in fiera in scena al Teatro della Tosse la notte di Capodanno.

Nei lavori di Tonino Conte i 22 personaggi delle carte sono rivisti dall’artista spesso in modo ambiguo e allusivo. Non manca l’umorismo e il pubblico può divertirsi a percepire l’accostamento dei diversi lavori: una signora si accosta bramosa alle labbra di un cavallo e viene ricambiata, ed ecco GLI AMANTI. Il PAPA è rinchiuso in una stretta colonna da cui piovono immagini di dolci bambini racchiusi in gocce perlacee, la LUNA occhieggia da un cielo nero su un personaggio mezzo uomo e mezzo animale, mentre una maschera comica si specchia in una donna bellissima: L’IMPERATRICE.Tutto all’insegna del mistero, dell’allusività, tutto percorso dal gusto dell’ ironia o della franca risata, e del “bric a brac” che caratterizza la poetica di Tonino Conte. È questo il gusto di una mostra speciale che vedrà le 22 opere esposte fino al 31 dicembre.

KOO JEONG-A, YVON LAMBERT, PARIS


KOO JEONG-A
Yvon Lambert
108, rue Vieille-du-Temple - Paris
25/11/2011 - 14/1/2012

Yvon Lambert is pleased to announce the 7th personal exhibition of Koo Jeong-A at the gallery. Following the acclaimed solo exhibition presented at the Dia Art Foundation( 2010/ 2011) Koo Jeong-A present at the gallery an important new installation.

« The exhibition is an invitation to a journey through the diversity of an undisturbed lake »
-- Koo Jeong-A October 2011

Koo Jeong-A's work is an “archeology” of diverse materials, images and landscapes, excluded and forgotten in the present-day cultural domain, that we often consider nonartistic. Her work, always carried out in situ, is ephemeral. For each intervention, she seeks to assemble all sorts of objects, videos and drawings that she (re)exposes, sometimes hidden from the spectators! view. She accentuates and stages the infinitely small, even the invisible. She reveals the beauty and the poetry of the most common objects and moments. The way in which it all comes together, the way in which the objects mutually relate to and condition one another, has nothing random about it. Instead, it follows an order, in which microcosm and macrocosm correspond.

Koo Jeong-A (born 1967 in Seoul, lives and works in London)
Selected personal exhibitions: Nove/Nine, Centro de Arte Moderna, Fondation Calouste Gulbenkian Dia Art Foundation, at Hispanic Society, Dia : Beacon and Dan Flavin Insitute, USA ( 2010/ 2011), Aspen Art Museum, Aspen, US ( 2008), Centre international d’Art et du Paysage de l’île de Vassivière (2007), Aspen Art Museum (2007), Centre Pompidou (2004).
Selected group exhibitions: Fare Mondi / Making Worlds, Curated by Daniel Birnbaum, 53rd Venice Biennale, Italy Your Bright Future: 12 Contemporary Artists from Korea, LACMA, USA / MFA Houston, USA,Torino Triennale (2008), Eurasia/ Museo di Arte Moderna e Contemporanea di Trento e Revereto (2008), GOD&GOODS/ Villa Manin (2008), Il Tempo del Postino/ Manchester International Festival (2007), La Force de L’Art/ Grand Palais (2006), Moscow Biennale (2005), Sidney Biennale (2004).

MAURIZIO MOCHETTI - BASE, FIRENZE

MAURIZIO MOCHETTI
Base / Progetti per l'arte
via San Niccolò 18 R. - Firenze
dal 2 dicembre 2011 al 10/2/2012

L'associazione Base / Progetti per l'arte presenta la mostra di Maurizio Mochetti dal titolo 'Binfinito'. Questa parola, coniata dallo stesso artista, introduce due opere che realizzano lo spazio. La prima, del 1966, ha come soggetto una asse e una retta, le cui estremita' vanno prospetticamente all'infinito, o meglio in 'Binfinito'. La seconda si intitola 'Proiezioni' e rappresenta un cilindro posto nello spazio, dalla sua sezione immaginaria ed infinita e dall'incontro di questa con un ostacolo (parete, soffitto, pavimento, etc), si visualizzano le proiezioni del suo prolungamento. Una mostra contemporanea e interessante che sara' aperta al pubblico fino al 10 febbraio 2012.

WOLF VOSTELL: DÉ-COLL/AGE MUSIK


WOLF VOSTELL
DÉ-COLL/AGE MUSIK
Les presses du réel, 2011

Peintre, sculpteur, compositeur et musicien allemand, Wolf Vostell (1932-1998) est, avec Nam June Paik et George Maciunas, l'un des fondateurs du mouvement Fluxus, l'un des pionniers de l'art du happening et de l'art vidéo.
Vostell étudie la typographie à la Werkkunstschule, Wuppertal (1954-55) et rend visite à Stockhausen à Cologne. Puis il suit les cours de peinture et de dessin à l'École Nationale des Beaux-Arts, Paris (1955-56) et travaille comme graphiste chez Cassandre. Il commence à mettre en pratique son principe du « dé-coll/age », terme qu'il avait vu sur un gros titre du Figaro en 1954, réalisant ses premières affiches décollées. Puis il étudie à la Kunstakademie à Düsseldorf (1957-58). Sa première action à Paris, Le théâtre est dans la rue I, date de 1958. En 1959, il s'installe à Cologne et l'année suivante épouse Mercedes Guardado Olivenza. En 1961, il réalise Cityrama I, premier happening d'environnement se déroulant dans vingt-six endroits dans Cologne. Il rencontre George Maciunas et organise avec lui et Nam June Paik le festival Festum Fluxorum en 1962 à Wiesbaden, qui marque le début du mouvement Fluxus. Il participe à de nombreux concerts la même année. Il édite le premier numéro de la revue Dé-coll/age (7 numéros entre 1962 et 1969) où s'expriment beaucoup d'artistes Fluxus. En 1963, il se rend à New York, où il participe au Yam Festival. De retour en Allemagne, il organise plusieurs happenings de grande ampleur, comme Nein – 9 – Dé-coll/ages à Wuppertal (14 septembre 1963), Nie – Wieder – Never – Jamais à Aix-la-Chapelle (20 juillet 1964), In Ulm, um Ulm und um Ulm herum à Ulm (7 novembre 1964). En 1966, lors d'un séjour de trois mois à New York, il présente Dogs and Chineses Not Allowed. En 1969, son œuvre plastique s'articule autour du bétonnage. En 1971, il s'installe à Berlin. En 1976, il fonde un musée dédié à son œuvre et à Fluxus à Malpartida de Cáceres (Espagne).

ADRIEN SINA: FEMININE FUTURES

FEMININE FUTURES
Valentine de Saint-Point – Performance, Danse, Guerre, Politique et Érotisme
Edité par Adrien Sina
Textes de Adrien Sina, Giovanni Dotoli, RoseLee Goldberg (Performa), Nancy G. Moore, Philippe de Lustrac, Sander L. Gilman, Frédérique Poissonnier, Maja Durinovic, Sarah Wilson, Patricia Guinard, Eric-Noël Dyvorne, Barbara Ballardin
Les presses du réel, 2011

Focalisée sur un réexamen du rôle des avant-gardes féminines du début XXe siècle dans le champ de la performance et de la danse, la première étape de l'exposition Feminine Futures, conçue par Adrien Sina, a lieu à la Biennale Performa de New York en 2009, à l'Italian Cultural Institute. Structurée autour d'une collection personnelle unique, elle comprend d'innombrables œuvres inédites dont une partie est présentée dans le cadre de l'exposition Danser sa vie, au Centre Georges Pompidou en 2011-2012.
Le retour à la source à travers des documents photographiques, filmiques ou manuscrits en partie inconnus des historiens de l'art et des collections publiques, permet de franchir une nouvelle étape dans la recherche des prémices de la modernité dans ces zones peu explorées des actions éphémères qui laissent peu de traces matérielles.
Nous sommes là aux origines de la performance et des pratiques pluridisciplinaires qui ont inspiré plusieurs générations d'artistes tout au long du siècle dernier jusqu'à aujourd'hui. Une matrice incontournable reste ici à explorer pour le décryptage des dissidences et des innovations sans lesquelles l'art au féminin n'aurait jamais eu sa propre histoire – insoumise à l'hégémonie des « ismes » initiés par des artistes au masculin.

Une convergence exceptionnelle est née de la rencontre entre la danse, le mouvement, l'expression corporelle et la photographie. De véritables stratégies artistiques sous-tendent les procédés techniques et leurs qualités picturales spécifiques pour asseoir dans la mémoire collective des univers de création novatrice. Les pièces photographiques de Feminine Futures sont aussi un témoignage précieux de l'histoire de la photographie. Un demi-siècle de mutation, entre les années 1890 et 1940... Du papier albuminé, des bromures d'argent ou de radium aux épreuves argentiques, des palettes chromatiques à chimie évolutive se développent jusqu'à l'autodestruction de la matière visible.
Des sommets de maestria plastique et artistique sont atteints dans des collaborations entre photographes et chorégraphes comme Isaiah West Taber ou Harry C. Ellis avec Loïe Fuller, Hixon-Connelly ou Herman Mishkin avec Vera Fokina et Anna Pavlova, Lou Goodale Bigelow ou Nickolas Muray avec Ruth St. Denis, Isadora Duncan et Arnold Genthe, Charlotte Rudolph ou Hugo Erfurth avec Mary Wigman et Gret Palucca, Barbara Morgan et Chris Alexander ou encore Isamu Noguchi avec Martha Graham, Maurice Seymour ou Siegfried Enkelmann avec Ruth Page et Harald Kreutzberg...

EMANUELE BIGGI: 5 MICROMONDI - SPAZIO EVENTI TOP MARKET, GENOVA


EMANUELE BIGGI
5 MICROMONDI
Ritratti di biodiversità
Spazio Eventi Top Market
via Cecchi 69B R. - Genova
dal 15/12/2011 al 14/1/2012

Da giovedì 15 dicembre lo Spazio Eventi Top Market, ospita gli scatti di Emanuele Biggi naturalista, fotografo e comunicatore scientifico.
Emanuele Biggi si occupa di scienza e natura collaborando con riviste di settore anche internazionali - Natura, BBC Wildlife Magazine, Geo Magazine - e con la televisione – Trebisonda…la TV dei ragazzi di Rai 3, Wild di Mediaset.
La selezione fotografica scelta per la mostra ripercorre le sue esperienze personali e professionali e racconta con cura scientifica, dovizia fotografica e gusto estetico specie animali spesso guardate con sospetto e anche con una certa repulsione.
Le immagini propongono allo spettatore un ipotetico cammino evolutivo: dagli Aracnidi e Crostacei, tra i primi esseri a colonizzare le terre emerse, passando per gli Insetti, che rappresentano in assoluto il più numeroso e vario gruppo animale sulla Terra, fino agli Anfibi e ai Rettili.
Acuto osservatore, curioso di vocazione, esperto di macrofotografia, Biggi mostra frammenti della vita e delle abitudini di animali che sarebbe altrimenti difficile vedere perché esotici o solo perché capaci di nascondersi con maestria all’occhio umano, animali lontani dalle consuetudini e spesso vittime di miti antichi che li fanno nemici dell’uomo (dal biblico Serpente di Adamo ed Eva al mito di Ovidio di Aracne tessitrice, per citare i più famosi).

sabato 24 dicembre 2011

GRAHAM SUTHERLAND: AN UNFINISHED WORLD - MODERN ART OXFORD


GRAHAM SUTHERLAND
AN UNFINISHED WORLD
curated by George Shaw
Modern Art Oxford
30 Pembroke Street - Oxford
10 December 2011 - 18 March 2012

This winter, Modern Art Oxford presents a collection of works on paper by British artist, Graham Sutherland. Curated by 2011 Turner Prize nominee, George Shaw, An Unfinished World is a reflective exploration of the lesser-known work of one of the most compelling artists of his generation.
The exhibition concentrates on Sutherland’s early Welsh landscapes from the 1930s, works created during his time as official WWII war artist, and after his return to Pembrokeshire in the 1970s.
Far from traditional studies of landscape and environment, these works not only depict but also exude a world that is as dark as it is magical, as elusive as it is recognisable. Strangely bereft of human life, the works navigate the real and imagined; where country lanes loop into each other, horizon lines fold into foregrounds, and nothing is as it seems.
George Shaw presents these works through the lens of a contemporary painter, describing them as ‘a lament to the passing and changing landscape, a monument to the earth itself’. He adds, ‘the exhibition shows us Sutherland as an artist as much rooted in the past as in the world before him – a world forever unfinished’.
An Unfinished World brings together for the first time over eighty rarely seen works on paper from public and private collections across the UK.
An Unfinished World – the publication to accompany the exhibition includes an introduction by Michael Stanley and texts by George Shaw, Brian Catling, Rachel Flynn and Alexandra Harris.

Graham Sutherland Exhibition Circle
Don't miss the short film by John Rolfe playing in the Basement, featuring interviews with George Shaw in the galleries at Modern Art Oxford and his thoughts on some of the works in the Graham Sutherland exhibition. Free, just drop in.

Graham Sutherland
Graham Sutherland (b. 1903, London, d. 1980), painter of imaginative landscapes, still life, figure pieces and portraits, abandoned a railway engineering apprenticeship after a year and studied at Goldsmiths College School of Art 1920–5, where he specialised in engraving and etching. Formative influences on his early work were Blake, Samuel Palmer, Turner, Paul Nash and Henry Moore. He exhibited at the N.E.A.C. 1929–33 and with the London Group from 1932 (member 1936–7), experimenting with painting in oils from 1930 until, in 1935, the year after his first visit to Pembrokeshire, he decided to become a painter. As an Official War Artist 1941–4, Sutherland painted scenes of bomb devastation and of work in mines and foundries. He also painted the portrait of Somerset Maugham in 1949, the first of a series, which includes Lord Beaverbrook, Sir Winston Churchill and others. He completed the designs for the Coventry Cathedral tapestry, ‘Christ in Glory in the Tetramorph’, between 1954 and 1957 (installed 1962). He also designed posters, ceramics, book illustrations, and ballet costumes and décor for ‘The Wanderer’ in 1940. He was awarded the Order of Merit in 1960.

George Shaw
George Shaw (b. 1966, Coventry, currently lives and works in North Devon) grew up in Tile Hill, a post-war housing estate on the south side of Coventry. He gained a BA from Sheffield Polytechnic in 1992 and an MA from the Royal College of Art, London, in 1998. His solo exhibitions include The Sly and Unseen Day, BALTIC Centre for Contemporary Art, Gateshead and South London Gallery (2011), Looking for Baz, Shaz, Gaz and Daz, VOID, Derry (2010), Woodsman, Wilkinson Gallery, London (2009), The End of the World, Galerie Hussenot, Paris (2008), Poets Day, Centre d’Art, Contemporain, Geneva (2006), Ash Wednesday, Wilkinson Gallery (2005) and What I Did This Summer, Ikon Gallery, Birmingham (2003). George Shaw is one of four artists shortlisted for the Turner Prize 2011. Work by the shortlisted artists will be shown in an exhibition at BALTIC Centre for Contemporary Art, Gateshead, opening on Friday 21 October 2011. The winner will be announced at BALTIC on 5 December 2011.

STEPHAN BALKENHOL - MONICA DE CARDENAS, MILANO


STEPHAN BALKENHOL
Monica De Cardenas
via Francesco Viganò 4 - Milano
dal 15/12/2011 al 25/2/2012

La Galleria Monica De Cardenas è lieta di annunciare una mostra di nuove opere di Stephan Balkenhol, uno dei maggiori scultori contemporanei, che rappresenta in Italia dal 1996.
Nato a Fritzlar (Hessen) in Germania nel 1957, Stephan Balkenhol da più di vent'anni infonde nuova vita alla scultura figurativa con opere di grande intensità ed originalità. Dopo aver studiato all'Accademia di Amburgo come allievo dello scultore minimalista tedesco Ulrich Rückriem, Balkenhol scopre ben presto la sua predilezione per il legno come materiale e la sua vocazione a voler "re-inventare la figura".
Le figure vengono scolpite con precisione da un unico tronco di legno ed illuminate dal colore. Nonostante l'uso di questa tecnica tradizionale, i soggetti non aspirano all'eroico, bensì rappresentano con sobrietà e ironia l' uomo del nostro tempo, che Balkenhol osserva nelle numerose fotografie che scatta per le strade. All'immediatezza della figura scolpita, le sculture di Balkenhol uniscono l'essenzialità della tradizione minimalista, fondendo così due tendenze dell'arte contemporanea diametralmente opposte. La materialità del legno è sempre presente e i gesti dello scultore rimangono visibili, accentuando la vitalità della superficie. Le figure umane mantengono un'espressione neutrale ed enigmatica, che non svela sentimenti o passioni, ma sembra racchiuderne il mistero.
Le opere di Stephan Balkenhol si trovano nelle collezioni di alcuni tra i più prestigiosi musei del mondo, tra cui l'Hirschhorn Museum and Sculpture Garden di Washington, la Tate Gallery di Londra, il Museum für Moderne Kunst di Francoforte e la Nationalgalerie di Berlino. Sono inoltre state presentate in mostre personali in musei europei ed americani, tra i quali recentemente il Museè de Grenoble (2010), il museo Deichtorhallen di Amburgo (2008-2009), la Staatliche Kunsthalle di Baden Baden, il Museum der Moderne di Salisburgo (2006-2007), il Padiglione d' Arte Contemporanea di Milano (2007), il National Museum of Art di Osaka (2005) e lo Sprengel-Museum di Hannover (2003).
Balkenhol ha realizzato anche numerose sculture pubbliche, tra le quali nel 2010 un torso maschile in legno di cedro alto 5 metri, esposto ai Fori Imperiali a Roma.

ARCHIVES DE PHILOSOPHIE: PAUL RICOEUR ET L'HISTOIRE


ARCHIVES DE PHILOSOPHIE
Tome 74 (2011/4)
PAUL RICOEUR ET L'HISTOIRE

La question de l'histoire n'a cessé, en même temps que celle du temps, d'être l'objet des réflexions de Paul Ricoeur depuis le tout début des années 1950, comme en témoignent ces quelques lignes écrites en conclusion d'un article de 1953 - "L'histoire de la philosophie et l'unité du vrai" -, destiné à un volume d'hommages à Karl Jaspers : « L'histoire veut être objective et elle ne peut pas l'être. Elle veut rendre les choses contemporaines, mais en même temps il lui faut restituer la distance et la profondeur de l'éloignement historique ».

GEORGES CANGUILHEM: ŒUVRES COMPLÈTES, TOME I


GEORGES CANGUILHEM
ŒUVRES COMPLÈTES. TOME I
Écrits philosophiques et politiques (1926-1939)
preface de Jacques Bouveresse
Vrin, 1/12/2011
Bibliothèque des Textes Philosophiques

Georges Canguilhem fut un personnage majeur dans l’univers intellectuel français de l’après-guerre. Pendant longtemps, sa notoriété a largement reposé sur ses travaux d’histoire des sciences, et ses vues originales sur la technique. Aux yeux de ses disciples, il apparaissait comme un maître dans le maniement rigoureux des concepts, avec une attention particulière aux sciences de la vie et aux pratiques de la médecine.
Depuis une décennie, on a le sentiment que ses écrits et sa personne, au-delà de cette spécialisation de l’exercice philosophique, sollicitent l’intérêt et les recherches de publics nouveaux, dépassant largement les cercles de ceux qui l’ont connu. Le premier volume de ces Œuvres Complètes devrait aider à comprendre ce phénomène : Georges Canguilhem est sans aucun doute un représentant de l’école française d’histoire des sciences, mais cette spécialisation intellectuelle repose sur un engagement philosophique, politique, profond, passionné, parfois virulent, dont va témoigner son engagement dans la Résistance. C’est ce qui devrait apparaître aux lecteurs des textes publiés par le jeune Canguilhem, de 1926 à 1939.
Réunis et présentés par un collectif d’universitaires et de jeunes chercheurs, ces textes sont regroupés en trois parties : l’ensemble des articles de revues, lettres et divers documents de circonstance, le fascicule Le Fascisme et les paysans de 1935, et le Traité de Logique et de Morale, publié à compte d’auteur à Marseille en 1939, avec Camille Planet.

PAOLO BONFIGLIO - PLASTIC PASSION, GENOVA


PAOLO BONFIGLIO
disegni - dipinti - video
Plastic Passion
Via Luccoli 26 R. - Genova
dal 23/12/2011 al 12/1/2012

Paolo Bonfiglio nasce nel 1972 nelle Langhe.
Autodidatta, si e' sempre interessato e dedicato alle discipline del disegno e dell'immagine.
Ha lavorato in qualita' di scenografo in numerosi teatri ed atelier in collaborazione con Emanuele Luzzati.
Ha preso parte a varie mostre di fumetto ed illustrazione, curandone spesso l'organizzazione.
A partire dal 2001, si avvicina al linguaggio cinematografico, realizzando negli anni seguenti film d'arte basati sulle musiche di Mick Harris, uno dei maggiori protagonisti della scena elettronica contemporanea a livello internazionale.
Compie numerosi tour in tutta Europa, collaborando con il musicista Francois Cambuzat per il cineconcerto "Putan Club".
Nel 2007 realizza il cortometraggio d'animazione MATER selezionato e proiettato in numerosi festival e vincitore, a Parigi, del primo premio del pubblico in occasione del concorso internazionale "Fiac: Arts Numeriques".
Nello stesso anno viene messo sotto contratto dalla galleria parigina "Le Studio Art & You".
Collabora con il fotografo Silvio Uruss e con il musicista Julien Omeyer.
Le sue opere sono proposte dall'organizzazione belga "68 Septante" e dall'associazione italiana "Nomadica".
Attualmente vive e lavora a Genova.

venerdì 23 dicembre 2011

ED RUSCHA: ON THE ROAD - DENVER ART MUSEUM


ED RUSCHA
ON THE ROAD
Denver Art Museum
100 W 14th Ave Parkway - Denver
24/12/2011 - 22/4/2012

This exhibition brings together two great visionaries of art and language—Ed Ruscha and Jack Kerouac. In 1951, Kerouac wrote On the Road on his typewriter as a continuous 120-foot-long scroll, recording his experiences during road trips in the United States and Mexico in the late 1940s.
With its publication in 1957, Kerouac was acknowledged as the leading voice of the Beat Generation. Over the last few years Ruscha has continued to explore his own fascination with the shifting emblems of American life by turning his keen aesthetic sensibility to Kerouac’s classic novel. Having created a limited edition artist book version of On The Road in 2009, Ruscha has created a new body of paintings and drawings inspired by passages in Kerouac’s novel.
Ed Ruscha: On the Road is organized by the Hammer Museum, Los Angeles. The exhibition is made possible by a major gift from The Brotman Foundation of California. Generous support is provided by Lannan Foundation, Michael Rubel and Kristin Rey, The Fran and Ray Stark Foundation and Linda and Jerry Janger. Significant local support is provided by Snell & Wilmer L.L.P. Additional funding is provided by the citizens who support the Scientific and Cultural Facilities District (SCFD) and the generous donors to the Annual Fund Leadership Campaign. Promotional support is provided by 5280 Magazine, CBS4 and The Denver Post.

CIFRE IMMAGINARIE (BERTRAND, BOURGEOIS, RIZZOLI) - GALLERIA CARDI, MILANO


CIFRE IMMAGINARIE
Jean-Pierre Bertrand, Louise Bourgeois e Giovanni Rizzoli
a cura di Bruno Corà
Galleria Cardi
piazza Sant'Erasmo, 3 - Milano
dal 15/12/2011 al 10/3/2012

La mostra trae origine da una riflessione compiuta sulle opere di tre artisti di differente generazione che tuttavia hanno sviluppato attraverso un assiduo lavoro talune analoghe modalità di concezione dell’opera. Infatti ciascuno di loro nel tempo e con criteri pittorico plastici differenti, ma rispondenti in ogni caso ad autentiche esigenze poetiche individuali, di assoluta autonomia, ha posto in essere alcune “cifre immaginarie” che ne hanno distinto le rispettive creazioni.
Il denominatore comune delle loro opere, dunque, anziché risiedere in improbabili e non ricercate consonanze, è da rinvenire nell’irriducibile tensione immaginaria che guida ciascuno di loro nella creazione dell’opera.
Per questo progetto espositivo, alle opere di Louise Bourgeois, tutte fortemente permeate da una sensibilità sconcertante, utopica e visionaria che implica tanto la mitologia familiare quanto l’eros, si affiancano quelle di Giovanni Rizzoli anch’esse non disposte a rinunciare né alla dimensione onirica né a quella dell’autostupefazione del voyant, di fronte alle epifanie quotidiane; non diversamente Jean-Pierre Bertrand, alimentando un processo ermetico, declina la propria ars combinatoria cromatica con forme e spazialità rispondenti a regole da lui concepite e scrupolosamente osservate.
L’osservatore di tali cifre immaginarie è invitato a riconoscerne attraverso le opere le ineludibili apparizioni. La mostra invita, dunque, nuovamente, come nei momenti di nascente ripresa culturale, ad esercitare la percezione e la riflessione individuale davanti ad opere che hanno la fragranza di domande in atto.

FABIEN DANESI: LE CINEMA DE GUY DEBORD (1952-1994)

FABIEN DANESI
LE CINEMA DE GUY DEBORD (1952-1994)
Paris Experimental, 1/2/2011
collection "Classiques de l'avant-garde"

Entre 1952 et 1978, Guy Debord réalise six oeuvres cinématographiques.
En 1994, peu avant sa mort, il y ajoute un film de télévision. Dans sa critique de la société du spectacle, qui réduit la vie à une représentation, Guy Debord fait pleinement usage de l'image. Avec la pratique du détournement, le cinéaste révolutionnaire remet en cause le conditionnement social propre au capitalisme et évoque son itinéraire sur un mode à la fois héroïque et intime. En prenant pour fil d'Ariane le cinéma de Guy Debord, ce livre retrace le combat du réalisateur dans le labyrinthe de l'Histoire de la seconde moitié du XXe siècle.
II étudie sa poétique, indissociable d'un refus politique de tout compromis. Son oeuvre s'appuie sur le principe de la négativité, qui s'inscrit au coeur d'une contradiction dialectique : produire un art tout en insistant sur son impossibilité. Au fur et à mesure de l'abandon de l'horizon révolutionnaire, Debord transforme cette négativité en " mal ", seul moyen d'échapper à l'idéologie bourgeoise du bonheur.
Cet ouvrage retrace le parcours singulier d'un créateur, dans et contre la culture contemporaine.

GUY-CLAUDE MARIE GUY DEBORD: DE SON CINÉMA EN SON ART ET EN SON TEMPS


GUY-CLAUDE MARIE
GUY DEBORD: DE SON CINÉMA EN SON ART ET EN SON TEMPS
Vrin, 9 octobre 2009
collection "Philosophie et cinema"

Au printemps 2009, les Archives Debord sont classées Trésor national.
Depuis 2005, on peut à nouveau voir en salles ou en DVD l'ensemble des films que Guy Debord a réalisés et prendre la mesure de la rupture et du changement de perspectives qu'il a, dans ce champ-là aussi, irrévocablement provoqués. Son cinéma (et/ou son anti-cinéma) est essentiel au coeur de son oeuvre. Il y a une complète et complexe articulation entre l'oeuvre écrite l'oeuvre cinématographique, l'une nourrissant l'autre et réciproquement, et surtout l'oeuvre vécue, sa vie, comme oeuvre, comme vie consacrée à la poésie insulté.
Il y aura eu, au cinéma comme ailleurs, un avant et un après Guy Debord.

MARIO DEL CURTO: DES RIVES - VILLA PIAGGIO, GENOVA


MARIO DEL CURTO
DES RIVES
mostra fotografica
Villa Piaggio
corso Firenze 24 - Genova
dal 3 dicembre 2011 al 10 gennaio 2012

Derive, allontanamento da forme di vita ordinate e regolari...
Rive, sponde sulle quali trovare riparo e al tempo stesso abbandonarsi...
Il fotografo svizzero Mario Del Curto ci invita a scoprire il mondo creativo di Bonaria Manca e Melina Riccio.
Donne che hanno sfidato le convenzioni e hanno fatto dell'arte il loro riparo e la loro avventura, dipingendo la propria casa con storie e ricordi o ricoprendo le mura delle città con parole dal sapore profetico.
(visita su appuntamento 347/5029290 - 347/5452747)

giovedì 22 dicembre 2011

MANZONI: AZIMUT - GAGOSIAN GALLERY 2, LONDON



MANZONI: AZIMUT
Gagosian Gallery
17-19 Davies Street London
17/11/2011 - 6/1/2012

Dopo il successo della mostra “Manzoni: A Retrospective” presentata a New York nel 2009, Gagosian Gallery è lieta di annunciare la mostra “Manzoni: Azimut” presso lo spazio espositivo di Davies Street, Londra. Con la partecipazione della Fondazione Piero Manzoni, la mostra celebra il lavoro svolto da Manzoni e da alcuni artisti che con lui hanno condiviso l’esperienza della galleria Azimut a Milano, tra il1959 al 1960.
Inaugurata il 4 dicembre 1959 nel seminterrato di un negozio di mobili a pochi passi dal teatro La Scala di Milano, Azimut ha aperto con una mostra di Linee di Manzoni, ritenute i lavori più radicali dell’artista fino ad allora: opere composte da una singola linea tracciata su una lunga striscia di carta, arrotolata, firmata, e poi posta all’interno di un cilindro di cartone etichettato dall’artista.
Spazio espositivo sperimentale e di nuova generazione, in soli otto mesi di vita Azimut ha presentato ben tredici mostre, trasformandosi presto in un importante punto di riferimento per molti giovani e innovativi artisti internazionali. Fondata da Manzoni ed Enrico Castellani con l’aiuto del loro mentore Lucio Fontana, la galleria è stata il seguito della loro collaborazione in Azimuth, rivista dedicata alla valorizzazione della più giovane pittura della nuova avanguardia. Con riprodotte opere di Robert Rauschenberg, Heinz Mack, Jean Tinguely, Yves Klein e altri, i due numeri di Azimuth rappresentano una testimonianza cruciale della nascita di una “nuova concezione artistica” radicale, alla fine degli anni cinquanta.
La mostra “Manzoni: Azimut” presenta esempi fondamentali dei cicli creativi dell’artista, riunendo Achrome, Linee, Uova scultura e Corpi d’Aria, insieme ad alcuni dipinti sperimentali di amici e collaboratori del progetto Azimut: Enrico Castellani, Agostino Bonalumi, Dadamaino, e la loro guida Lucio Fontana. La mostra sarà corredata da una importante ed estesa pubblicazione dalla storica dell’arte Francesca Pola, che ricostruisce le vicende del progetto Azimuth/Azimut e include il facsimile della rivista originale con inedite traduzioni inglesi dei testi.

Piero Manzoni nasce a Soncino nel 1933 e muore a Milano nel 1963. La sua breve carriera è stata una delle più radicalmente innovative del ventesimo secolo, grazie a un corpus di opere che tutt’oggi sfida le definzioni di autorialità e virtuosismo artistico. Le sue opere sono presenti in importanti collezioni pubbliche, tra cui Museum of Modern Art, New York; Stedelijk Museum, Amsterdam; Tate Modern, Londra; Centre Pompidou, Parigi; Galleria Nazionale d’Arte Moderna, Roma, e Galleria Civica d’Arte Moderna e Contemporanea, Torino.
L’opera di Manzoni è stata inoltre protagonista di numerose mostre internazionali, tra le quali si annoveranno le antologiche al Musée d’Art Moderne de la Ville de Paris (Parigi, 1991); Castello di Rivoli (Torino, 1992); Palazzo Reale (Milano, 1997); Serpentine Gallery (Londra, 1998) e MADRE (Napoli, 2007).
La mostra presentata alla Gagosian Gallery di New York nel 2009, a cura di Germano Celant, è stata la prima esauriente retrospettiva dell’opera di Manzoni negli Stati Uniti.

MATTIA MORENI: LA REGRESSIONE DELLA SPECIE - MUSEO REGIONALE DELLE SCIENZE NATURALI, TORINO


MATTIA MORENI
LA REGRESSIONE DELLA SPECIE
a cura di Liliana Dematteis
Museo Regionale di Scienze Naturali
via Giolitti 36 – Torino
17 dicembe 2011 - 15 gennaio 2012

A Mattia Moreni, uno dei più importanti pittori italiani dello scorso secolo, è dedicata l’esposizione ospitata nelle sale del Museo regionale di Scienze Naturali – inaugurata il 16 dicembre – che ripercorrerà il periodo di produzione dell’artista che va dal 1947 sino alle ultime tele degli anni ’90 in collaborazione con la Gam, con gli eredi dell’artista e con collezioni private, evidenziando i suoi continui mutamenti che hanno come minimo denominatore la coerenza artistica e umana, una ricerca incessante di chi non si è mai assoggettato al volere del mercato.
Mattia Moreni è sicuramente fra quelli che hanno lasciato un'impronta importante sul palcoscenico artistico non solo del nostro paese. L'omaggio che L'AIPS (Associazione Italiana Paralisi Spastica presieduta da Angelo Catanzaro), tramite la seconda edizione della rassegna “Lo Slancio” iniziata lo scorso anno con il grande maestro dell’informale europeo Hans Hartung, ha deciso di decretare al grande artista pavese ruota intorno al concetto di umanità, che per Moreni abbraccia ogni aspetto dell'esistenza, anche regressivo. Un grande uomo del Novecento che ha dimostrato ancora una volta come la disabilità fisica (Moreni aveva una malformazione alla mano destra dalla nascita) non intacchi minimamente, ma anzi sia sprone, per una grande eccellenza artistica.